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Ces histoires de "cinquième colonne" ne veulent rien dire. C'est de la logorrhée de politicard pour endormir le public.yacoub a écrit :
- "Cinquième colonne", "troisième guerre mondiale" : les mots d'Estrosi à la loupe
J'y étais aussi sur la place République ce fameux mercredi soir, la Place était bondée et pourtant il y avait un quasi silence de mort.... puis quelques slogans, c'était une atmosphère très étrange très triste aussi...moame a écrit :Je reviens de place de republique, et malgré le froid des centaines de personnes sont reunis ce soir pour exprimer à leur maniere leur soutien à charlie hebdo.
Ceci dit malgré tout je vais me repeter mais on peut pas dire qu'ils n'étaient pas prevenu :
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Un aveugle avait pour femme une esclave, enceinte, qui insultait et dénigrait le Prophète. Il le lui avait interdit mais elle ne cessait pas. Il la réprimandait mais elle n’abandonnait pas cette habitude. Une nuit, elle commença à calomnier et injurier le Prophète. Alors il prit un poignard, le plaça sur son ventre, appuya et la tua. Un enfant qui sortit d’entre ses jambes fut sali par le sang qui était là.
Quand vint le matin, le Prophète apprit cela. [...] Le Prophète dit :
- Ô sois mon témoin, il n’y aura pas de représailles pour le sang de cette femme. ”
(récit d’Ibn Abbas, Dawud XXXVIII 4348)
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Merci Fleurs !Fleur2jasmin a écrit :J'y étais aussi sur la place République ce fameux mercredi soir, la Place était bondée et pourtant il y avait un quasi silence de mort.... puis quelques slogans, c'était une atmosphère très étrange très triste aussi...moame a écrit :Je reviens de place de republique, et malgré le froid des centaines de personnes sont reunis ce soir pour exprimer à leur maniere leur soutien à charlie hebdo.
Ceci dit malgré tout je vais me repeter mais on peut pas dire qu'ils n'étaient pas prevenu :
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Un aveugle avait pour femme une esclave, enceinte, qui insultait et dénigrait le Prophète. Il le lui avait interdit mais elle ne cessait pas. Il la réprimandait mais elle n’abandonnait pas cette habitude. Une nuit, elle commença à calomnier et injurier le Prophète. Alors il prit un poignard, le plaça sur son ventre, appuya et la tua. Un enfant qui sortit d’entre ses jambes fut sali par le sang qui était là.
Quand vint le matin, le Prophète apprit cela. [...] Le Prophète dit :
- Ô sois mon témoin, il n’y aura pas de représailles pour le sang de cette femme. ”
(récit d’Ibn Abbas, Dawud XXXVIII 4348)
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Encore aujourd'hui j'ai du mal a croire qu'ils se sont fait butter pour des dessins....
Tout cela est vrai, l'attitude des élèves, des parents a la maison.... Moi j'ai été dans un lycée dans le 93 j'y suis même aller en BTS ce qui m'a choqué c''est le communautarisme dans les classes, je faisais parti d'aucun groupe je trouvais cela malsain et contraire a mon éducation, même nos enseignants en BTS nous l'on fait remarquer.... je sais pas si c'était le cas dans d'autres classes mais dans la notre c'était flagrant....yacoub a écrit :Le désarroi d’une prof qui parle de « Charlie » à ses élèves : min. de silence méprisée, provocations…
09/01/2015
Source ici
http://www.lepoint.fr/societe/le-desarr ... or=CS2-239
Minute de silence incomprise, parfois méprisée, provocation..., une enseignante dans un collège classé REP de l'académie de Grenoble raconte son étrange journée.
Sauf quand même que le privé est largement un business (j'ai été au collège et lycée chez les maristes), avec pour but de renflouer financièrement une Eglise qui continue son lent déclin, et donc il accueille aussi les musulmans. Parfois même, j'ai cru comprendre qu'il les attire en leur donnant plus de facilités.Fleur2jasmin a écrit :Perso je suis marqué par cela, et j'ai retenu la leçon pour mes futurs enfants, d'ailleurs c'est pas un hasard si le privée à la cote ces dernières années....
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