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Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Le mot ex-musulman est un mot composé de préfixe « ex » qui signifie ancien, et du mot « musulman » qui signifie une personne qui professe l’islam, et qui appartient à la religion islamique, le mot musulman vient de l’arabe muslim « celui qui se soumet à Allah et ce que Mohamed a enseigné ».

Être un musulman est appartenir à la communauté musulmane « el Oumma » et devenir un ex-musulman est se détacher de cet « oumma » et se libérer de cette soumission communautaire religieuse.

Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Mais malheureusement, pour la majorité des musulmans orthodoxes pour ne pas dire tous, le mot ex-musulman veut dire autre chose, puisqu’il est lié au mot arabe irtidād et rida qui veut dire : reculer en arrière et abandonner l’islam comme religion et foi, cela signifie dans la majorité des cas pour les musulmans une trahison et les ex-musulmans des traitres…

Cette signification fausse que les musulmans pensent des ex-musulmans, est liée à la religion islamique elle-même, qui se croit la seule et unique vérité et que toutes les autres sont fausses, ce qui veut dire pour elle, qu’abandonner l’islam par les musulmans veut dire quitter le vrai pour le faux et sortir de la lumière vers l’obscurité.

Et bien sur, il ne faut pas oublier que la majorité des musulmans aujourd’hui ont une idée bien claire, qui se résume en le fait qu’une personne qui abandonne l’islam ou bien un l’athée est sans principe ni morale ou bien considéré comme un traitre qui s’est « vendu » à l’occident et un pro- sioniste, ennemi des musulmans. Donc dire ou être un ex-musulman est une grande trahison qui mérite bien la mort ou la prison, et dans le cas le plus apaisé, l’humiliation et le rejet total.

Le problème est que les musulmans avec leur notion d’el « oumma », rajoutent à l’islam en plus d’une religion, une identité nationale qui regroupe tous les musulmans dans un seul et unique regroupement, ce qui fait que quitter ce groupe veut dire automatiquement la trahison, ce qui laisse la majorité des musulmans ne penser même pas à quitter l’islam, et même s’ils le font, ils vont le faire en cachette sans avoir le courage de le dire, par peur d’être poursuivis et accusés de tous les mots possibles par les musulmans.

Le choix de quitter l’islam est un choix personnel, qui est le fruit d’une réflexion individuelle du musulman qui a suivi dès sa naissance, un lavage de cerveau considérable dans sa famille, dans la société et dans les médias pour ne voir que l’islam, et ne laisse aucun autre choix pour douter ou pour choisir autre chose que l’islam.

C’est très rare qu’un musulman lui vienne à l’esprit de douter de l’islam ou de changer de croyance, et même s’il pense à cela, il est rapidement menacé et il est empêché par tous les moyens de se libérer.

Quitter l’islam ne veut pas dire être traitre comme croient beaucoup de musulmans orthodoxes, on peut quitter l’islam pour mille raisons personnelles ou autres, parce qu’on ne se sent pas bien dans cette croyance, ou parce qu’on trouve le salut et la paix dans une autre croyance, chrétienne, bouddhiste… etc, ou encore, être athée. Quitter l’islam et choisir d’être un ex-musulman qui est la libération d’une soumission despotique politique, sociale et religieuse.

Mais les musulmans orthodoxes croient dur comme fer que tout être humain est né de nature musulmane : [Mohamed a signalé que Allah a dit : « J’ai créé mes serviteurs dans la religion droite (pour les musulmans c’est l’islam) mais les diables de leur fit égarer.

Un autre hadith dit aussi : »Chaque enfant est né dans un état de « Fitrah», puis ce sont les parents qui font de lui un Juif, chrétien ou un zoroastrien, la manière d’un animal donne naissance à une progéniture normale. Avez-vous remarqué que sont nés mutilé ?  » (Al-Bukhari et Muslim).].

Et puisque l’islam est la seule vérité, pour eux, les ‘non-musulmans’ sont ainsi suite à l’éducation de leurs parents, et que se convertir à l’islam est un acte tout à fait naturel et juste et que c’est le retour à la nature humaine qui mérite tout respect ; par contre, quitter l’islam pour ceux qui naissent musulmans est une déviation de la nature humaine et un recul injuste, qui mérite un châtiment sévère et sans aucune pitié.

Toutes ces idées reçues qu’ont les musulmans sur les ex-musulmans doivent disparaître, et les musulmans eux-mêmes doivent comprendre et accepter que toute personne est libre de choisir sa croyance, et n’est pas obligée de suivre ses parents, cela s’applique sur les musulmans ou autres.

Le droit de quitter une croyance ou une origine doit être respecté, puisque chacun est libre, et que choisir d’être un ex-musulman ne veut pas dire être traitre, puisqu’on peut trouver des traitres parmi les musulmans eux-mêmes, qui ont sacrifié leurs pays et leurs familles comme on peut trouver des ex-musulmans loyaux et qui aiment leurs pays et leurs peuples.

Ce qu’on demande est le droit de quitter l’islam, et que les musulmanes acceptent qu’un musulman les quitte comme ils acceptent qu’un non-musulman se convertisse à l’islam. Mais cela semble impossible puisque l’islam est clair et net sur ce point, que quitter l’islam est formellement interdit et qu’il mérite la peine de mort.

La seule solution actuelle est de dénoncer haut et fort cet islam orthodoxe qui interdit d’être apostat, mais si un musulman dénonce cela, il va lui même être accusé par le musulman orthodoxe de trahison et d’apostasie. On reste alors dans ce cercle vicieux qui ne finit jamais tant que les musulmans n’ont pas le courage de dénoncer cet islam orthodoxe et de se libérer de cette soumission infernale.

Par : Mohamed Karim Labidi

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L’idée d’Une seule origine…

L’idée d’Une seule origine…

Adam, le père commun de toute l’humanité, Eve l’unique mère de tout être humain, Dieu notre seul créateur, la seule origine de l’Univers. Le Un comme base de tous les nombres, le Point source de toutes écritures ou schémas. La racine absolue d’où on provient et vers laquelle on se dirige.

C’est sur cette idée que toutes les religions, les sectes et les politiques totalitaires se sont appuyés pour se faire entendre. Une seule et unique origine pour tout le monde, un seul gouvernement, un seul parti au pouvoir, une seule force, un seul responsable, une seule politique, une seule idéologie.

L'idée d'Une seule origine...

L’idée d’Une seule origine…

L’opposition est interdite, l’autre doit disparaître. Il n’y a qu’une seule force reconnue, une idée cache une autre, un mensonge sans preuve auquel on doit croire et prendre comme une vérité absolue. Même ceux qui se disent rationnels et scientifiques cherchent la vérité à travers le UN et oublient les autres UNS.

L’influence religieuse de cette approche est sans équivoque. La réunion de l’ensemble dans le UN était nécessaire pour pouvoir aborder l’univers infini qui nous entoure et l’approcher sans crainte et sans le risque de se perdre.

L’humanité a toujours su changer de direction à chaque fois qu’elle se confronte à une impasse. C’était, et c’est toujours le cas, le seul moyen de progresser dans les labyrinthes de la vie. Elle a inventé les religions, par nécessité, afin de pouvoir franchir un obstacle qui l’empêche d’aller vers l’avant.

Parce que l’Homme évolue, et le monde avec, chaque invention humaine devient, elle-même, un obstacle dans l’avenir. En revanche, les méthodes et les idées reçues demeurent les mêmes sous prétextes de l’origine commune. L’idée du Un absolu nous bloque sur tous les niveaux : idéologique, politique, économique…

Et continuer à ne plus avancer de la sorte ne fait que nous retarder de notre conquête de l’univers environnant. Notre orgueil nous empêche d’inaugurer une nouvelle étape, dont rêve l’humanité, celle du « Non Un absolu » mais du « Un infini » sans limite. Celle du Un multiple qui s’harmonise avec l’ensemble des autres Uns. Celle du Un souple, le Un d’être différant, le Un d’être plusieurs, le Un sans Un.

Il faut être capable de se libérer de cet Un pour reprendre le chemin de l’évolution. Cette idée doit être, non seulement, abandonnée mais aussi combattue par tous les moyens afin de se délivrer de son emprise. Pour pouvoir accéder à une nouvelle étape de notre évolution, on peut attendre passivement que cela se produise naturellement. Seulement, le problème c’est que cette solution nous fera perdre beaucoup de temps et le pire c’est qu’elle risque de nous coûter plusieurs vies humaines suite au développement galopant des armes de destruction massive.

L’ensemble de l’espèce humaine est menacé si une seule force gagne et décide d’exterminer le reste afin de confirmer et de réaliser l’idée du UN absolu. Notre temps n’est plus celui des anciens et les menaces sont différentes. Aujourd’hui, le monde est de plus en plus petit, la moindre action provoque des répercussions immédiates sur l’ensemble de la planète. Chacun de nous doit prendre son destin en main au lieu de continuer à se laisser guider par une poigné d’illuminé qui cherche à gouverner le monde au détriment des autres protagonistes.

La recherche du pouvoir du Un sur le monde est dévastatrice pour l’ensemble de l’humanité. Oui, la guerre des Uns est belle et bien lancé et chaque Un se croit le meilleure et cherche à détruire les autres Uns. Seulement, les plus dangereux de tous les Uns, se trouvent le Un islamiste et le Un impérialiste qui se rivalise pour la domination de la planète quitte à mettre la Terre à feu et à sang pour aboutir sur une seule force totalitaire.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Miracle ! Mon œil !

Miracle ! Mon oeil !

Miracle ! Mon œil !

Miracle ! Mon œil !

Du latin mirari, “s’émerveiller”, (المعجزة) en arabe, le miracle demeure un mot à connotation très religieuse attribué à une intervention divine ou à des forces surnaturelles. Cette formule, comme plusieurs autres religieuses, n’existe en réalité que dans l’imaginaire humain afin de pouvoir interpréter les phénomènes qui lui échappent dans l’immédiat.

En fait ce qu’on appelle “Miracle” (المعجزة) est provoqué par la force de l’esprit humain même si l’attribution est orientée vers une force extérieure. Ceci est dans les meilleurs des cas, autrement, on peut expliquer le phénomène par la ruse et la manipulation afin d’abuser de la crédulité des simples. En fait la vraie définition du mot “Miracle” n’est autre que le recours à des astuces bien sélectionnés et étudiés afin de tromper son entourage et l’impressionner pour davantage de prise de pouvoir sur son esprit afin de mieux le manier et l’exploiter à sa guise.

Tout au long de l’histoire et de l’évolution de l’être humain, on note un net détachement de ce dernier de ce qu’on appelle des miracles pour la simple raison qu’au fur et à mesure qu’on avance l’homme évolue et par là même se trouve apte à mieux expliquer les phénomènes de la nature plus rationnellement sans recourir à une divinité quelconque en premier et dernier secours. Je prends l’exemple de l’éclipse considéré comme étant un miracle divin pendant des millénaires pour la simple raison qu’on était incapable à l’époque de lui donner une interprétation logique.

En fait, il suffisait qu’un Homme soit au courant de la prééminence du phénomène pour qu’il puisse l’exploiter en sa faveur en invoquant une intervention divine avec laquelle il est sensé être en contact ou encore dont il est l’envoyé exclusif.

Ainsi, au fil du temps et de la démystification, progressive, des phénomènes naturels, les miracles ont tendance à reculé par la force des choses. La nature a de moins en moins de secret pour l’être humain dont l’évolution est en permanente progression afin de mieux la maîtriser. Si l’un de nos ancêtres ressuscite pour nous expliquer, aujourd’hui, que l’éclipse est une œuvre divine, il sera pris pour un fou et sera interné sans la moindre hésitation.

Pourtant, ces mêmes propos à son époque auraient fait de lui, systématiquement, un prophète et l’envoyé direct de Dieu au pire des cas s’il n’était pas pris, carrément, pour le Dieu en personne.

Généralement, ces prédicateurs prennent une apparence modeste et désintéressée afin de mieux séduire leurs adeptes. Leur renoncement au monde matériel, qu’il soit économique ou politique, fait partie de leur astuces afin de mieux pénétrer les esprits et mieux les subjuguer.

En réalité ces individus cherchent une emprise et un pouvoir beaucoup plus étendus et plus puissants afin de se perpétrer même après leurs morts et ceci sur plusieurs générations. Ce qui était communément appelé “Prophète” dans le passé se prénomme “Gourou” de nos jours en suivant le même mécanisme trompeur afin de séduire les foules et les dépouiller de leur libre arbitre.

L’emprise ne s’arrête plus à la personne puisqu’elle déborde sur l’ensemble de la famille afin de la spolier financièrement et spirituellement en en faisant une loque incapable de vivre par elle-même.

Le danger des religions et des sectes me paraît bien établit de nos jours, c’est pourquoi il faut combattre ces fléaux des miracles par tous les moyens possible afin de minimiser les dégâts à l’aube de ce troisième millénaire.

Par : Mohamed Karim Labidi

des liens   a voir :
Guérisseurs Philippins, la supercherie

L’idée d’Une seule origine…

La lune reflète la lumière du soleil

La lune reflète la lumière du soleil

Les islamistes affirment que la lune réfléchit la lumière du soleil – D’ailleurs, je me suis toujours demandé s’ils prenaient les gens pour des cons – en se basant essentiellement sur ce verset : « C’est celui (Dieu) qui a fait du soleil une clarté et de la lune une lumière […] » (Sourate 10, verset 5)

La lune reflète la lumière du soleil

La lune reflète la lumière du soleil

Considérons plus attentivement le verset que les missionnaires musulmans proposent à notre crédulité. « Le soleil est une clarté (thiaa) et la lune une lumière (nour). » Il faut toute la malhonnêteté d’un islamiste pour déceler un miracle dans l’utilisation de deux mots différents pour décrire deux astres de luminosité différente.

Que Dixit Bucaille nous remette en mémoire que « la Lune , non lumineuse par elle-même, ne fait que réfléchir la lumière qu’elle reçoit du Soleil et constitue un astre inerte » mais nous aimerions bien savoir où, dans ce verset, Mohamed évoque la réflexion de la lumière solaire par la lune ?

Voyez-vous quelconque miracle ? Peut-être que allez-vous déceler un détail et nous éclairer.

D’ailleurs, dans le verset 35 de la Sourate 24 ( La Lumière ), Mohamed décrit Allah avec le mot si heureusement utilisé pour la lune (nour) : « Dieu est la lumière des cieux de la terre !… » Il faut sans nul doute en déduire, pour reprendre les précieuses conclusions que notre missionnaire tire sur la lune, qu’Allah est « non lumineux par lui-même, et ne fait que réfléchir la lumière » d’un Dieu inconnu par les musulmans…

Nous ne voyons pas d’objection à cette exégèse audacieuse.

Rappelons que, malheureusement, le Coran n’était pas le premier à parler de la lune et du soleil. Anaxagore au Ve siècle av jc qui fut condamné pour impiété parce qu’il avait soutenu que le soleil était une pierre chaude et que la lune était constituée de terre. De même l’ancien testament a évoqué ce satellite et voici quelques versets qui sont d’ailleurs plus claires que le Coran.

« Voici, la lune même n’est pas brillante, Et les étoiles ne sont pas pures à ses yeux ; » (Verset : 25.5)

« …et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. » (Verset : 1.15)

« Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles. » (Verset : 1.16)

« Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, » (Verset : 1.17)

« pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. » (Verset : 1.18)

Le Coran n’a non seulement rien ramené de nouveau mais il a plagié. Peut-être qu’on aurait compris l’attitude des gens simples à croire tels propos mais que dire des musulmans d’aujourd’hui qui continuent à répéter les mêmes mots, la même ignorance. Leur a-t-on à ce point scellé la raison ?

« N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept cieux superposés et y a fait de la lune une lumière et du soleil une lampe ? » (Sourate 71 verset15 et 16)

 

Par : Mohamed Karim Labidi

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Sœur d’Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

On ne cesse de nous le radoter : le Coran fourmille de miracles. Alors que nous savons qu’en nous armant d’un minimum d’ouverture d’esprit et d’un sens critique, les miracles qu’il rapporte deviennent rapidement des faits préfabriqués et entraînent pour nous la disparition de l’enchantement éphémère que nous avions pu concevoir en lisant quelques sourates.

Sœur d'Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

Pour duper les gens simples d’esprit et leur faire croire que le Coran est divin, tout est bon. Heureusement que de plus en plus de personnes commencent à douter de ces miracles et à réaliser combien les textes coraniques sont contradictoires. La science est d’ailleurs là pour le prouver. Cette fois, nous nous pencherons sur les erreurs dont est parsemé le Coran.

En traduisant le Coran en français ou en toute autre langue, on cherche à cacher les erreurs et les contradictions qu’il renferme mais, comme le dit le proverbe tunisien : « Celui qui vole l’emporte sur celui qui cache. » Il suffit de refuser de se soumettre à cette religion qui aveugle l’esprit pour être à même de repérer les erreurs que comportent ses textes dits « sacrés. ».

Sachant que le Coran en langue arabe comporte encore plus d’erreurs flagrantes que les autres versions, il est facile de comprendre que les mots peuvent y être facilement interprétés dans un sens ou dans un autre, ceci afin de les faire correspondre à une idée fixée au préalable. Malheureusement, pour s’apercevoir de la manipulation, il faut posséder une bonne connaissance et de la langue arabe et du Coran lui-même. Si le musulman de base n’y voit que du feu, les oulémas, en revanche, connaissent parfaitement tout cela.

D’ailleurs, ils étudient erreurs et contradictions pour le but de les dissimuler au peuple. Depuis son apparition, il y a 1400 ans, les oulémas cherchent même à corriger ces contre-sens et anachronismes par le biais de plusieurs méthodes toutes plus malhonnêtes les unes que les autres : le détournement des sens des mots, l’introduction de mots non arabes et aussi la création d’une grammaire s’adaptant au seul Coran… On le voit : la liste est longue. Notons-le aussi : c’est la langue arabe qui doit se rallier au Coran et non l’inverse.

Mais aujourd’hui n’est plus hier et ce genre de pratique ne peut plus passer inaperçu. Aussi devient-il très difficile de modifier la dernière version que l’on a datée de 1932. Et même si les différences semblent tout d’abord minimes, elles n’en existent pas moins et sont loin d’être insignifiantes.

Ainsi peut-on lire dans le chapitre XIX (Marie), verset 28 : « Ô. Soeur de Aaron ! ton père n’était pas un homme mauvais et ta mère n’était pas une prostituée ». Mais le Aaron ici cité n’est pas le frère de Marie, mère de Jésus, mais plutôt celui de Moïse. Voilà un verset qui vient le confirmer : « Paix sur Moïse et Aaron » (Chapitre 37, verset 120)

Le Coran confond visiblement Marie, mère de Jésus et Marie, sœur de Moïse. Tout le monde sait d’ailleurs que Marie n’a jamais eu aucun frère répondant au nom de Aaron. Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres, l’un de ceux qu’il est plus facile de distinguer en arabe qu’en français.

Bien sûr, les oulémas connaissent cette erreur qui relève de l’anachronisme pur et simple. Mais ils cherchent à la contourner en affirmant qu’il s’agit d’un autre Aaron et non de Aaron, frère de Moïse.

Seulement voilà : cette explication ne fournit pas pour autant à Marie, mère de Jésus, un frère appelé Aaron ! Le seul frère qu’aurait eu la mère du Christ s’appelait Yahya, et, en réalité, ce Yahya n’était pas son frère par le sang. Simplement, ils avaient grandi ensemble lorsque Marie avait été confiée à Zacharie, le père de Yahya, qui l’avait prise en charge.

Le verset 37 du chapitre 3 nous dit à ce sujet : « Son Seigneur l’agréa alors du bon agrément, la fit croître en belle croissance. Et Il en confia la garde à Zacharie. Chaque fois que celui-ci entrait auprès d’elle dans le Sanctuaire, il trouvait près d’elle de la nourriture. Il dit : « Ô Marie, d’où te vient cette nourriture ? » – Elle dit : « Cela me vient d’Allah ». Il donne certes la nourriture à qui Il veut sans compter. « Zacharie : c’est le père de Jean-Baptiste (Yahya). »

Comme on le voit, tous les moyens sont bons pour cacher ces graves erreurs et contre-sens à la masse des croyants. De telles falsifications relèvent du rôle des oulémas, et ce depuis des siècles. Ils sont d’ailleurs formés entre autres pour cette mission. Alors parole divine ou invention humaine ?

On peut lire l’interprétation suivante de ce verset :
Ibn Jabir a avancé : « Concernant l’appellation « sœur d’Aaron », il est connu qu’à cette époque les gens s’attribuaient aux Prophètes et aux hommes vertueux en prenant leurs noms. Cet Aaron désigné est un autre Aaron que le frère de Moïse (que le salut de Dieu soit sur lui), et il a ajouté qu’il était un homme pieux et juste et lors de sa mort, 40 000 hommes avaient suivi son convoi funèbre et ils portaient tous le nom Aaron parmi les fils d’Israël. »

D’autres disent que l’on appelait Marie, « sœur de Aaron » parce qu’elle descendait de Aaron …

Tout cela n’a rien de logique. De plus ces interprétations s’appellent « ahad », c’est-à-dire qu’elles ont été rapportées par une seule personne. En outre, aucune source historique ne parle de ce fait. Et puis Marie n’a jamais fréquenté d’hommes, du moins d’après l’Islam, alors comment peut-elle avoir un frère, voire un ami ? Et même en admettant que ce qu’ils avancent est vrai et que tout le monde s’appelait Aaron à cette lointaine époque et dans l’entourage de Marie, cela ne prouve en rien qu’elle a côtoyé l’un d’eux.

D’autres disent qu’en effet, Marie n’avait pas de frère. Mais chez les Arabes, tout le monde peut utiliser le terme « frère » – ou « sœur. ». C’est-à-dire « celui avec qui l’on a le même père et/ou la même mère ». Chez les Arabes (et les Africains), le « frère » peut être tout simplement un cousin proche ou éloigné. Or il y avait, paraît-il, à l’époque un juif d’une grande bonté et réputé pour sa piété, qui appartenait à la tribu de Marie et qui s’appelait Haroun (Aaron).

Donc, de quelque façon que l’on retourne la question, on finit par aboutir à l’équation suivante : « Frère = une personne très proche, un familier. » Or, nous savons tous que Marie passait son temps à méditer chez Zacharie et ne recevait personne, et surtout pas d’hommes. Dans ces conditions, d’où vient ce « frère » ?

Même s’il s’agissait d’un homme pieux comme le prétendent certaines traductions, l’Histoire l’aurait aussi évoqué ! Des preuves auraient prouvé son existence. On observera d’autre part que le reste du verset confirme l’hypothèse du frère par le sang de Marie, puisque l’on y évoque ses parents. En bonne logique en effet, si l’on dit : « Ô sœur de X, ton père était… et ta mère… » X est dans le contexte le frère par le sang – et personne d’autre.

Mais alors, pourquoi le Coran ne s’est-il pas contenté de dire : « Ô Marie.. » ?

On raconte que cette erreur fut commise à l’époque de Othmane (3e calife) et que, comme tant d’autres, elle ne fut pas corrigée par la suite.

Par conséquent, le Coran, au même titre que les autres livres sacrés devraient être considéré comme un ouvrage mythologique. D’autant que les lois datant du VIIe siècle qu’il nous rapporte sont aujourd’hui parfaitement obsolètes.

Quant à moi, je propose de le mettre tout bonnement au musée. C’est la seule place qu’il mérite, la seule où il pourra montrer sans danger au monde la haine et la cruauté humaines des versets qu’il égrène parfois avec poésie. Quant aux verset soft, ils ne sont que le reflet de la sagesse de certains penseurs de cette époque. Pour prendre conscience des unes comme de l’autre, nous n’avons besoin ni du Coran, ni d’un quelconque autre livre déclaré « sacré » par les ambitions humaines.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Les causes de la peur de l’islam?

Les causes de la peur de l’islam?

Là tu me poses une question longue à répondre, mais je vais être bref. Et bien n’oublis pas que j’ai vécu dans une famille traditionnelle qui a connu pendant les années 75 une révolution islamique

C'est quoi les causes de la peur de l'islam??

Les causes de la peur de l’islam?

qui m’a laissé vivre la vie d’un bon musulman et qui m’a conduit vers le chiisme et puis vers l’islamisme et enfin vers l’intégrisme et le terrorisme; le but suprême pour tous les bons musulmans et je ne souhaitais qu’une seule chose c’est de mourir en martyre pour dieu.

L’islam se base sur el djihad sinon il perdra toute force. Crois moi toute personne qui se dit musulmane et qui n’espère pas mourir en martyre et fait tout pour arriver à ce stade n’est qu’une hypocrite, lâche et monteuse et qui ne fait que retarder les musulmans. Je ne vais pas rentrer avec toi en une discussion théologique mais je te parle en connaissance de cause.

L’islam a perdu sa force quand il a commencé à abandonner el jihad et il restera dans la merde et même pire s’il ne répand pas el jihad. Mais en réalité, il ne peut jamais répandre el jihad parce que le monde a changé et l’homme a évolué et l’islam a raté sa chance et maintenant il se trouve bloquer par lui-même parce qu’il s’est basé sur el jihad et il n’a pas su que l’homme va évoluer et l’abandonner ou bien il a cru qu’il allait conquérir toute la terre avant que l’homme arrive à ce stade d’évolution.

Donc je vois qu’il n’y a aucune solution que d’abandonner l’islam parce qu’il ne peut plus nous donner la civilisation, un islam sans djihad n’est pas un islam. Un islam faible ne fait que nous reculer vers l’arrière et on assiste aujourd’hui à un blocage sur tous les niveaux à cause de l’islam qui ferme les portes de el ijtihad et veut finir avec el djihad une foi pour toute ce qui nous laisse devant deux solutions :

– Un islam modéré lâche qui change la forme extérieure et laisse les esprits fermés de l’intérieur ce qui mène à un dédoublement de personnalité, une hypocrisie et un grand décalage entre ce qu’il demande et ce qu’est la réalité de la vie vécue, ce qui peut à tout moment basculer vers l’obscurantisme islamique.

– Un islam tolérant qui nous plonge encore plus dans l’ignorance et qui ne garde de l’islam que ses saletés sous forme de lois archaïques et traditionnelles qui nous empêchent d’évoluer et d’avancer.

Et bien suite à des méditations et réflexions, je suis arrivé au stade qu’il faut tout détruire pour se reconstruire de nouveau, parce que l’islam est tellement en ruine qu’on ne peut plus le renouveler. Et bien c’est comme ça que je suis devenu islamophobe, c’est un choix et une conviction personnelle qui me permet de critiquer l’islam de A jusqu’à Z.

Par : Mohamed Karim Labidi

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