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Révélation / Révolution

Révélation / Révolution

A l’origine l’idée de la révélation était inventée pour mener une révolution. C’est l’une des méthodes que l’humanité a découvert pour avoir de l’emprise sur la masse populaire. Tout au long de l’histoire de l’humanité, l’Homme a toujours cherché à dominer son semblable par la force ou par l’emploie de différentes ruses en se servant du pouvoir financier, politique ou religieux.

C’est là que rentre en scène le pouvoir de la révélation où tout être humain peut y prétendre sans pouvoir le prouver « La religion est née quand le premier hypocrite a rencontré le premier imbécile » puisqu’on fini toujours par trouver qui croit en nous surtout quand on fini par croire en nous-même. Les complices et les adeptes subiront l’influence directement ou non afin d’atteindre l’objectif final de la dite révélation.

Révélation / Révolution

Révélation / Révolution

Le tandem révélation révolution été bénéfique pour faire avancer l’humanité vers le mieux à chaque fois que le pouvoir en place opprime et abuse de ses sujets. On s’aperçoit, en effet, qu’à chaque fois que l’humanité connaît un despote sans équivalent, la révélation trouve la fissure idéale pour s’y infiltrer et renverser une situation, pour soulever un peuple contre son souverain.

A chaque fois qu’on se trouve en face d’un puissant empire inique, la seule ruse pour le renverser ne peut venir que de la révélation en faisant intervenir une force extérieur pour mieux mobiliser le peuple. Celui qui n’a rien n’a, non plus, rien à perdre; les religions ont toujours été adressées aux pauvres parmi les plus opprimés afin de mieux se servir de leur détresse pour mener à bien la révolution. Au non de Dieu on garde l’espoir de se sacrifier afin d’asseoir son message avant de le rejoindre dans une vie meilleure et juste au sein de son « Paradis ».

La création de Dieu par l’Homme et pour l’Homme a permis aux « différentes » religions d’émerger les unes après les autres comme par hasard dans la même lignée et au sein de la même famille humaine. La religion en tant que pure invention humaine ne sort pas de ces deux grands cadres qui définissent l’essentiel de ses grandes lignes.

Les religions dites naturelles sont apparues pour répondre aux questions, d’ordre métaphysique, que l’être humain se pose. Elles s’intéressent à ce qui l’intrigue loin de la vie politique du pays, comme par exemple la signification de la vie et de la mort… On trouve parmi celles-ci le bouddhisme, l’animisme…

Et bien d’autres religions dites passives en raison de leur refus de prendre des positions politiques ou encore de chercher à s’affronter au pouvoir en place. Son seul objectif est d’ordre social afin d’apaiser la souffrance quotidienne de la masse populaire. Ce sont des religions d’ordre mystique qui se base sur la nécessité de la foi pour vaincre ses angoisses devant l’intrigue de cette vie.

Les religions dites créées sont inventées, de toute pièce, à un moment donnée de l’histoire humaine pour donner des réponses, aux questions existentielles, extraites des religions dites naturelles afin de profiter de la faiblesse des simples d’esprits en les gouvernant au nom de Dieu et les hisser contre le pouvoir en place.

Leurs objectifs sont purement politiques. Ces religions ont été façonnées selon un unique modèle hérité de père en fils au sein de la famille d’Abraham. Il n’y a pas un soi-disant prophète qui ne descend pas d’Abraham. Et les trois religions monothéistes ont vu le jour au sein de cette même branche.

Ces religions sont aussi dangereuses les unes que les autres puisque leur principal objectif est de gouverner le monde en anéantissant l’ensemble des autres forces, collectives ou individuelles, qui s’oppose à elles. Aujourd’hui, en l’absence des prophètes, il existe des soi-disant rabbins, prêtres et imams pour garder le « Temple » et surtout servir leurs intérêts politique, économique ou militaire.

Dans cette catégorie, j’exclue la branche soufie, de chacune des trois religions abrahamiques, qui se rapproche plus des religions naturelles par le renoncement au politique chère au monothéisme destructeur.

Par : Karim Mohamed Labidi

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Mariage : ensemble dans la joie et dans les épreuves

Mariage : ensemble dans la joie et dans les épreuves

Le mariage est une sorte de société personnelle basée sur un contrat de type particulier entre deux individus adultes et responsables. En fait, le mariage représente le sommet de l’ordre qui régit les relations sexuelles humaines dans le but de former une famille et de perpétuer la race humaine.

En effet, on rencontre plusieurs modes de mariage en fonction des nations, des religions, des circonstances et des croyances et ceci en raison de la richesse de la nature humaine et de sa capacité d’adaptation.

Pour le meilleur et surtout pour le pire

Pour le meilleur et surtout pour le pire

Après toutes les expériences, dans le domaine du mariage, que l’humanité a connues tout au long de son histoire, l’être humain actuel doit- il faire prévaloir un modèle au détriment des autres ?si on répond par l’affirmative, ceci voudrait dire que l’on n’a pas retenu la leçon que nos ancêtres ont bien voulu nous faire parvenir sur la diversité de la nature humaine.

En effet, chaque être humain doit disposer de liberté absolu du choix du mode d’union qui lui convient le plus et dont il est le seul et unique responsable. Ainsi notre devoir se limite à présenter les différentes possibilités du mariage avec toute objectivité sans oublier qu’il peut y avoir de nouveaux types à l’avenir en fonction du besoin humain.

Le mariage est un contrat entre deux personnes selon des conditions particulières afin de jouir du plaisir sexuel, de partager une vie commune ou afin de fonder un foyer et d’avoir des enfants ou encore pour deux ou l’ensemble de ces objectifs. Ainsi il existe trois types de mariage tout comme il existe trois buts à vouloir contracter un mariage.

Ainsi, on note la présence de sept combinaisons possible de types de mariages : pour fonder un foyer, pour le plaisir sexuel, pour partager une vie commune, pour ces trois derniers à la fois, pour fonder un foyer et le plaisir sexuel, ou pour fonder un foyer et partager une vie commune ou encor pour le plaisir sexuel et le partage d’une vie commune. Autrement dit, le mariage le plus complet est celui qui réunit ces trois objectifs en même temps.

Maintenant on passe à la présentation des trois types de mariage existants à la base. Tout d’abord, on rencontre ce qu’on appelle le mariage coutumier ou illégal que l’on peut attribuer aussi à l’union libre. Ce mariage libre ne se rattache ni à la législation religieuse ni à la législation laïque et n’exige aucun écrit puisqu’il se limite à l’échange du consentement mutuel des deux contractants en l’absence de témoins et d’un délai de validité du contrat. Ensuite on rencontre le mariage à durée déterminée, c’est- à- dire qu’il peut durer quelques heures comme quelques années en fonction de la volonté des contractants.

Ce type de contrat est renouvelable et soumis à des conditions qui nécessite la présence d’au moins un témoin et d’un écrit sous- seing privé qui n’engage que les intéressés. Ce mariage s’arrête automatiquement à la fin du délai ou en cas de non- respect de l’une des conditions par l’un ou l’autre des co- contractants.

Enfin, on rencontre le troisième type de mariage qui est le plus connu et le plus fréquemment utilisé, il s’agit du mariage à durée indéterminée qui peut être d’ordre religieux ou laïque même si dans la plupart des pays on a tendance à mélanger les deux. La fin de ce type de mariage ne se concrétise qu’à travers le divorce et constitue le mode d’union le plus mûr et le plus responsable dont les conditions sont régies par la loi qu’elle soit religieuse ou laïque.

Après avoir présenté les objectifs et les types de mariage, on passe aux différentes conditions qui peuvent régir un contrat de mariage. Tout d’abord on trouve le principe de la dote qui n’est pas obligatoire et qui peut être de la part de l’homme vers la femme ou le contraire en fonction de la culture à laquelle on appartient.

Ensuite, on trouve la désignation du responsable permanent des dépenses quotidiennes du ménage et si elles doivent être à la charge des deux ou d’une seul personne, de même qu’il faut choisir si le mariage doit être sous le régime de la communauté des biens ou celui de la séparation. Ensuite on trouve ce qu’on appelle le devoir conjugal ou les deux parties doivent se mettre d’accord sur la fréquence des rapports sexuels et leurs modes d’exercice.

Ensuite on rencontre le principe de la polygamie ou les contractants doivent s’entendre à égalité, sur la multiplication des partenaires de la part et d’autres et non uniquement, comme c’est souvent le cas, pour l’homme au détriment de la femme.

Enfin on trouve la question du nom que l’on attribuer à l’enfant et jusqu’à présent on ne reconnaît que le nom du père, or la mère a également le droit d’imposer son nom au même titre que le père si elle le désire, il lui suffit d’imposer cette condition au départ, de même qu’il lui est possible d’imposer uniquement son nom et non celui du père.

En outre, la femme peut garder son propre nom après le mariage au lieu de se fondre dans celui de son mari, qui peut s’il le désire emprunter celui de sa femme pour changer un peu de même qu’il peut avoir les deux noms pou les deux partenaires.

On se limite aux conditions principales puisque les secondaires sont illimitées et variable en fonction de la volante des deux parties contractantes. Ainsi, on peut introduire, par exemple, le partage des tâches ménagères, le nombre d’enfants désirés et ainsi de suite.

Pour finir, on précise que le mariage ne doit pas seulement se réaliser entre un homme et une femme puisqu’il peut être entre deux femmes ou deux hommes. Ainsi le mariage peut s’effectuer entre deux être humains, indépendamment de la nature des sexes, et sans qu’il y ait nécessairement une relation sexuelle entre les contractants à l’image de ce que l’on appelle en France le PACS.

Par ailleurs, le droit à la reproduction ou à l’adoption n’est pas limité aux couples de nature mixte mais doit être accordé à tout être humain adulte et responsable.

En outre, je tiens à soulever une dernière question qui est celle de la virginité de la femme. Certes cette question ne pose plus problème dans les pays occidentaux mais reste un tabou dans la plupart des autres coins de la planète et même à l’intérieur de certaines couches sociales occidentales.

En fait la virginité est une affaire purement personnelle qui ne concerne que la femme et dont elle est seule propriétaire. Par conséquent, elle doit être la seule à décider de son sort et de son élimination qui peut être par voie médicale, seule ou à l’aide d’un partenaire de son choix, au moment voulu.

Doit- on rappeler que la virginité féminine fait partie de notre reste du corps animal au même titre que les dents de sagesse et l’appendicite qui vont disparaître naturellement avec le temps et l’évolution de l’espèce humain.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Destin, si je veux !

Destin, si je veux !

El Massir « en arabe Destin« , le destin est une de croyance humaine très importante dans la vie de l’être, des groupe ou des sociétés. Tout le monde, à des degrés différents, croit que le destin dirige notre vie et tout ce qui nous arrive. La question qui revient sur toutes les lèvres consiste à savoir si le destin existe. Qu’est-ce que le destin ? Peut-on le changer ? Et comment ?

Destin, si je veux !

Destin, si je veux !

Je me suis posé ces questions comme tout le monde, j’ai cherché une réponse qui puisse me satisfaire et qui puisse être utile à mon entourage. Par mes expériences, je crois à ce qu’on appelle le destin. Non, je ne peux nier l’existence de cette destinée parce que je la vis et je la vois, dans ma vie, tous les jours.

Je ne crois pas au hasard des choses, pour moi le hasard est un ensemble de circonstances qui se déroulent dans le temps et dans l’espace. En fait, généralement on constate la présence du destin avec un peu de recul pour se résoudre à l’idée qu’on a eu ou non de la chance en fonction de notre bon ou mauvais destin.

Je pense que rien n’est le fruit du hasard. Je ne crois pas à l’apparition du début sans une introduction sauf pour le «Rien» parce que mon esprit ne peut l’imaginer. Le « Rien » n’existe pas pour moi, donc mon savoir et mon esprit s’arrêtent aux limites des choses existant concrètement.

Le rien entourant les choses existantes qui progressent dans ce vide négatif, prouve que les choses ne sont pas apparues sans prémisses préalables à leurs existences matérielles. Si je me meurs aujourd’hui, ce n’est pas le fruit du hasard ou du destin comme il est commun de le croire. Ce sont simplement les circonstances qui ont fait que je meure ce jour et non pas un autre.

Par conséquent, le destin existe mais ce n’est ni Dieu ni une force surnaturelle qui en est l’origine. La source du destin est la personne elle-même : on n’est que ce qu’on mérite d’être et ce qu’on a voulu être. En fait, il n’existe pas qu’une seule source du destin, mais une infinité de choses qui tissent notre destin autour de nous pour faire en sorte que je meure aujourd’hui ou demain ou pour que je rencontre cette personne ou une autre.

Il se trouve que ce destin concocte pour que je rencontre X mais, dans les faits, je ne le rencontre pas parce que mon état d’esprit ou mon caractère ne me le permets pas. On est complice de l’accomplissement ou non de notre destinée.

Aujourd’hui, on ne peut que se faire une idée de notre destin en faisant un peu plus attention à ce qui nous arrive. Il faut plonger, de temps en temps, à l’intérieur de nous-mêmes afin de mieux deviner ce qui va nous arriver et ce que nous cache notre destinée. Ainsi, en s’y prenant suffisamment à l’avance on peut agir sur notre destin pour éviter le pire et accélérer le meilleur, si meilleur il y a… !

 L’homme doué d’humour ne reçoit jamais rien de plein fouet car il ne se présente pas de face mais légèrement détourné, légèrement en retrait. Il s’arrange pour n’être pas tout à fait sur la trajectoire du destin. 
Citation de Jean Dutourd ; Le bonheur et autres idées (1980)

On provoque nous même ce qui nous arrive, et ensuite on appelle ça, le destin. Quoi de plus facile quand on choisit un chemin glissant que de prétendre qu’on y était destiné ? Réplique Gossip girl sur Destin

Par : Labidi Karim Mohamed

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L’homosexualité dans l’islam

L’homosexualité dans l’islam

Il est connu que la sexualité dans l’islam est réduite aux seules relations entre hommes et femmes. Seul ce type de relation est légitime et naturel au yeux de l’islam qui plus est les autorise seulement dans des cadres bien précis qui diffèrent d’une secte à une autre. Ainsi on retrouve plusieurs formes de mariage, et le droit de propriété sur les esclaves et les femmes capturés lors des guerres contre les ennemis de l’islam.

L'homosexualité dans l'islam

L’homosexualité dans l’islam

Toute relation qui sort de ces contextes est strictement interdite et sévèrement punie, allant parfois jusqu’à la condamnation à mort car elle est considérée comme un acte contre la nature créée par Allah. Ce qui fait d’elle une offense directe à la volonté d’Allah.

Bien que l’homosexualité soit interdite dans l’islam, l’histoire du monde musulman a connu beaucoup d’homosexuels célèbres parmi les poètes ou autres qui affichaient clairement leur homosexualité sans qu’on demande à ce qu’ils soient jugés, ou alors très exceptionnellement.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la loi islamique préconise la non mixité. Ce qui crée des regroupements séparés d’hommes et de femmes. Et ce dans tous les domaines de la vie sociale. Naturellement, cela encourage de façon indirecte la pratique homosexuelle. Ce qui est contradictoire avec l’interdiction de cette pratique dans l’islam qui la considère comme contre nature. Dans ce cas est ce naturel de séparer les hommes et les femmes ??

Ce n’est pas la seule contradiction que comprend la charia. Loin de là, elle en regorge. D’un côté, elle interdit une pratique et de l’autre côté, elle l’encourage indirectement en lui donnant le support social favorable à son développement. En effet, si l’islam voit en l’homosexualité une pratique non naturelle, il aurait plutôt du encourager la mixité pour supprimer cette pratique. Mais il a fait complètement le contraire. Et ce n’est pas nouveau : ceux qui connaissent bien l’islam sont conscients du manque de cohérence de ses lois.

Comme si chacune avait été élaborée à part. Ce qui prouve bien qu’elles ont été mises en place hâtivement sans mûre réflexion par un être humain et non pas par un Dieu ou quel qu’autre force. Soit ces lois islamiques existaient bien avant l’islam, et Mohamed les a reprises en leur donnant un caractère sacré et divin ; soit elles découlent de la mentalité et de la nature mêmes de Mohamed, de ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas et a voulu imposer à tous les arabes sans prendre en considération la nature humaine dans sa diversité.

Tout cela est bien clair puisqu’en plus l’islam fait la distinction entre l’homosexualité masculine et féminine. En effet, cette dernière est moins répréhensible que la première qui est au contraire fortement sanctionnée. Par ailleurs, la punition de l’individu passif est plus lourde que celle de l’actif, car l’islam considère qu’il est contre nature d’être efféminé.

Alors qu’aujourd’hui, on sait très bien qu’il existe des personnes qui naissent efféminées ou qui le deviennent par simple choix personnel, en optant pour ce qui convient le mieux à leur nature. Chacun est libre de choisir sa vie sexuelle. De quel droit l’islam se permet-il d’obliger les gens à aller à l’encontre de leur propre nature pour en faire des hypocrites, uniquement pour satisfaire de prétendues lois islamiques copiées par Mohamed et imposées comme lois divines.

On peut se demander si cette pratique existait à l’époque de Mohamed. La réponse est oui sans doute. L’homosexualité est présente dans tous les peuples. De plus certains hadiths l’évoquent. Le coran également en parle au sujet du peuple de Loth pour lequel la pratique homosexuelle était répandue. Cette histoire est plagiée sur l’ancien testament.

Voici le verset en question : Chapitre 7 versets 80 et 81 « Souvenez vous de Loth ! il dit à son peuple : « vous livrez- vous à cette abomination que nul, parmi les mondes, n’a commise avant vous ? Vous vous approchez des hommes de préférence aux femmes pour assouvir vos passions vous étés un peuple pervers. » La condamnation de l’homosexualité est claire dans le coran ainsi que la punition qui l’accompagne.

Mais la mise en pratique de cette punition est presque inexistante dans le monde musulman car les conditions pour l’appliquer sont difficiles à réunir (témoins,…). Cependant on ne peut pas afficher son homosexualité ni la pratiquer librement. Tout se fait en cachette. C’est la règle d’or en islam quant aux comportements contraires à la loi islamique.

Car il faut être un grand hypocrite pour être un bon musulman et pour être respecté par les autres. Pour finir, je vais citer quelques versets du coran qui me paraissent bizarres.

En effet, il y est question de ceux qui seront au service des fidèles au paradis : de très beaux jeunes hommes nous dit-on !! Chapitre 102 versets 24 « Des jeunes gens placés à leur service circulèrent parmi eux semblable à des perles cachées. » Chapitre 106 versets 17 « Des éphèbes immortels circulent autour d’eux portant des cratères, des aiguières et des coups remplie d’un breuvage limpide »

Chapitre 126 versets 19 « Des éphèbes immortels circulent autour d’eux, tu les compareras, quand tu les verras, à des perles détachées » On se demande si l’homosexualité qui est interdite sur terre, devient autorisée au paradis, comme le vin qui y coule dans des rivières. Ou bien Mohamed dit-il cela pour rassurer les musulmans qui aiment cette pratique ? En tout cas, il est bien clair que pour échapper à la répression de la loi islamique dans cette vie, il faut se comporter en grand hypocrite.

Par : Mohamed Karim Labidi

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J’étais enragé

J'étais enragé

J’étais enragé

J’étais enragé

j’ai pris le téléphone pour appeler

un ami pour me consoler.

Il commença à parler

pour me calmer.

Il m’a rappelé si lointaines années

Dans mon enfance,

par la piété, les gens me reconnaissaient

et par la prière tous les jours dans la mosquée.

Le Coran par cœur je l’apprenais

et le carême jour après jour je faisais.

Dans mon adolescence, j’ai loin voyagé

et dans les écoles islamiques j’ai étudié

pour devenir imam de renommée

et guider les gens égarés ;

leur enseignant ta parole si sacrée.

Dans ma jeunesse, j’ai voulu vous prouver

mon amour illimité.

Mon sang, je vous offrirai.

Mon corps, je sacrifierai

pour vous rencontrer.

Et un jour, pas comme les autres,

mes yeux se sont ouvrit

et le doute m’eut gagné.

Me voilà égaré de toi…

Me voilà libre de toi.

Je refuse de croire en toi.

Tu n’existes plus pour Moi.

Je refuse de me prosterner une autre fois.

Je vis ma vie comme je vois.

Aucun droit, tu n’as sur Moi.

J’ai oublié tout mon passé.

Je vis le présent comme il se doit

et le futur j’attendrai.

Jusqu’à ma mort je t’affronterai.

Je leur dis que l’islam rabaisse la femme

C’est mon choix et je continuerai.

Par : Labidi Karim Mohamed

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