Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Le mot ex-musulman est un mot composé de préfixe « ex » qui signifie ancien, et du mot « musulman » qui signifie une personne qui professe l’islam, et qui appartient à la religion islamique, le mot musulman vient de l’arabe muslim « celui qui se soumet à Allah et ce que Mohamed a enseigné ».

Être un musulman est appartenir à la communauté musulmane « el Oumma » et devenir un ex-musulman est se détacher de cet « oumma » et se libérer de cette soumission communautaire religieuse.

Définition du mot ex-musulman

Définition du mot ex-musulman

Mais malheureusement, pour la majorité des musulmans orthodoxes pour ne pas dire tous, le mot ex-musulman veut dire autre chose, puisqu’il est lié au mot arabe irtidād et rida qui veut dire : reculer en arrière et abandonner l’islam comme religion et foi, cela signifie dans la majorité des cas pour les musulmans une trahison et les ex-musulmans des traitres…

Cette signification fausse que les musulmans pensent des ex-musulmans, est liée à la religion islamique elle-même, qui se croit la seule et unique vérité et que toutes les autres sont fausses, ce qui veut dire pour elle, qu’abandonner l’islam par les musulmans veut dire quitter le vrai pour le faux et sortir de la lumière vers l’obscurité.

Et bien sur, il ne faut pas oublier que la majorité des musulmans aujourd’hui ont une idée bien claire, qui se résume en le fait qu’une personne qui abandonne l’islam ou bien un l’athée est sans principe ni morale ou bien considéré comme un traitre qui s’est « vendu » à l’occident et un pro- sioniste, ennemi des musulmans. Donc dire ou être un ex-musulman est une grande trahison qui mérite bien la mort ou la prison, et dans le cas le plus apaisé, l’humiliation et le rejet total.

Le problème est que les musulmans avec leur notion d’el « oumma », rajoutent à l’islam en plus d’une religion, une identité nationale qui regroupe tous les musulmans dans un seul et unique regroupement, ce qui fait que quitter ce groupe veut dire automatiquement la trahison, ce qui laisse la majorité des musulmans ne penser même pas à quitter l’islam, et même s’ils le font, ils vont le faire en cachette sans avoir le courage de le dire, par peur d’être poursuivis et accusés de tous les mots possibles par les musulmans.

Le choix de quitter l’islam est un choix personnel, qui est le fruit d’une réflexion individuelle du musulman qui a suivi dès sa naissance, un lavage de cerveau considérable dans sa famille, dans la société et dans les médias pour ne voir que l’islam, et ne laisse aucun autre choix pour douter ou pour choisir autre chose que l’islam.

C’est très rare qu’un musulman lui vienne à l’esprit de douter de l’islam ou de changer de croyance, et même s’il pense à cela, il est rapidement menacé et il est empêché par tous les moyens de se libérer.

Quitter l’islam ne veut pas dire être traitre comme croient beaucoup de musulmans orthodoxes, on peut quitter l’islam pour mille raisons personnelles ou autres, parce qu’on ne se sent pas bien dans cette croyance, ou parce qu’on trouve le salut et la paix dans une autre croyance, chrétienne, bouddhiste… etc, ou encore, être athée. Quitter l’islam et choisir d’être un ex-musulman qui est la libération d’une soumission despotique politique, sociale et religieuse.

Mais les musulmans orthodoxes croient dur comme fer que tout être humain est né de nature musulmane : [Mohamed a signalé que Allah a dit : « J’ai créé mes serviteurs dans la religion droite (pour les musulmans c’est l’islam) mais les diables de leur fit égarer.

Un autre hadith dit aussi : »Chaque enfant est né dans un état de « Fitrah», puis ce sont les parents qui font de lui un Juif, chrétien ou un zoroastrien, la manière d’un animal donne naissance à une progéniture normale. Avez-vous remarqué que sont nés mutilé ?  » (Al-Bukhari et Muslim).].

Et puisque l’islam est la seule vérité, pour eux, les ‘non-musulmans’ sont ainsi suite à l’éducation de leurs parents, et que se convertir à l’islam est un acte tout à fait naturel et juste et que c’est le retour à la nature humaine qui mérite tout respect ; par contre, quitter l’islam pour ceux qui naissent musulmans est une déviation de la nature humaine et un recul injuste, qui mérite un châtiment sévère et sans aucune pitié.

Toutes ces idées reçues qu’ont les musulmans sur les ex-musulmans doivent disparaître, et les musulmans eux-mêmes doivent comprendre et accepter que toute personne est libre de choisir sa croyance, et n’est pas obligée de suivre ses parents, cela s’applique sur les musulmans ou autres.

Le droit de quitter une croyance ou une origine doit être respecté, puisque chacun est libre, et que choisir d’être un ex-musulman ne veut pas dire être traitre, puisqu’on peut trouver des traitres parmi les musulmans eux-mêmes, qui ont sacrifié leurs pays et leurs familles comme on peut trouver des ex-musulmans loyaux et qui aiment leurs pays et leurs peuples.

Ce qu’on demande est le droit de quitter l’islam, et que les musulmanes acceptent qu’un musulman les quitte comme ils acceptent qu’un non-musulman se convertisse à l’islam. Mais cela semble impossible puisque l’islam est clair et net sur ce point, que quitter l’islam est formellement interdit et qu’il mérite la peine de mort.

La seule solution actuelle est de dénoncer haut et fort cet islam orthodoxe qui interdit d’être apostat, mais si un musulman dénonce cela, il va lui même être accusé par le musulman orthodoxe de trahison et d’apostasie. On reste alors dans ce cercle vicieux qui ne finit jamais tant que les musulmans n’ont pas le courage de dénoncer cet islam orthodoxe et de se libérer de cette soumission infernale.

Par : Massin kevin Labidi

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L’idée d’Une seule origine…

L’idée d’Une seule origine…

Adam, le père commun de toute l’humanité, Eve l’unique mère de tout être humain, Dieu notre seul créateur, la seule origine de l’Univers. Le Un comme base de tous les nombres, le Point source de toutes écritures ou schémas. La racine absolue d’où on provient et vers laquelle on se dirige.

C’est sur cette idée que toutes les religions, les sectes et les politiques totalitaires se sont appuyés pour se faire entendre. Une seule et unique origine pour tout le monde, un seul gouvernement, un seul parti au pouvoir, une seule force, un seul responsable, une seule politique, une seule idéologie.

L'idée d'Une seule origine...

L’idée d’Une seule origine…

L’opposition est interdite, l’autre doit disparaître. Il n’y a qu’une seule force reconnue, une idée cache une autre, un mensonge sans preuve auquel on doit croire et prendre comme une vérité absolue. Même ceux qui se disent rationnels et scientifiques cherchent la vérité à travers le UN et oublient les autres UNS.

L’influence religieuse de cette approche est sans équivoque. La réunion de l’ensemble dans le UN était nécessaire pour pouvoir aborder l’univers infini qui nous entoure et l’approcher sans crainte et sans le risque de se perdre.

L’humanité a toujours su changer de direction à chaque fois qu’elle se confronte à une impasse. C’était, et c’est toujours le cas, le seul moyen de progresser dans les labyrinthes de la vie. Elle a inventé les religions, par nécessité, afin de pouvoir franchir un obstacle qui l’empêche d’aller vers l’avant.

Parce que l’Homme évolue, et le monde avec, chaque invention humaine devient, elle-même, un obstacle dans l’avenir. En revanche, les méthodes et les idées reçues demeurent les mêmes sous prétextes de l’origine commune. L’idée du Un absolu nous bloque sur tous les niveaux : idéologique, politique, économique…

Et continuer à ne plus avancer de la sorte ne fait que nous retarder de notre conquête de l’univers environnant. Notre orgueil nous empêche d’inaugurer une nouvelle étape, dont rêve l’humanité, celle du « Non Un absolu » mais du « Un infini » sans limite. Celle du Un multiple qui s’harmonise avec l’ensemble des autres Uns. Celle du Un souple, le Un d’être différant, le Un d’être plusieurs, le Un sans Un.

Il faut être capable de se libérer de cet Un pour reprendre le chemin de l’évolution. Cette idée doit être, non seulement, abandonnée mais aussi combattue par tous les moyens afin de se délivrer de son emprise. Pour pouvoir accéder à une nouvelle étape de notre évolution, on peut attendre passivement que cela se produise naturellement. Seulement, le problème c’est que cette solution nous fera perdre beaucoup de temps et le pire c’est qu’elle risque de nous coûter plusieurs vies humaines suite au développement galopant des armes de destruction massive.

L’ensemble de l’espèce humaine est menacé si une seule force gagne et décide d’exterminer le reste afin de confirmer et de réaliser l’idée du UN absolu. Notre temps n’est plus celui des anciens et les menaces sont différentes. Aujourd’hui, le monde est de plus en plus petit, la moindre action provoque des répercussions immédiates sur l’ensemble de la planète. Chacun de nous doit prendre son destin en main au lieu de continuer à se laisser guider par une poigné d’illuminé qui cherche à gouverner le monde au détriment des autres protagonistes.

La recherche du pouvoir du Un sur le monde est dévastatrice pour l’ensemble de l’humanité. Oui, la guerre des Uns est belle et bien lancé et chaque Un se croit le meilleure et cherche à détruire les autres Uns. Seulement, les plus dangereux de tous les Uns, se trouvent le Un islamiste et le Un impérialiste qui se rivalise pour la domination de la planète quitte à mettre la Terre à feu et à sang pour aboutir sur une seule force totalitaire.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Sœur d’Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

On ne cesse de nous le radoter : le Coran fourmille de miracles. Alors que nous savons qu’en nous armant d’un minimum d’ouverture d’esprit et d’un sens critique, les miracles qu’il rapporte deviennent rapidement des faits préfabriqués et entraînent pour nous la disparition de l’enchantement éphémère que nous avions pu concevoir en lisant quelques sourates.

Sœur d'Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

Pour duper les gens simples d’esprit et leur faire croire que le Coran est divin, tout est bon. Heureusement que de plus en plus de personnes commencent à douter de ces miracles et à réaliser combien les textes coraniques sont contradictoires. La science est d’ailleurs là pour le prouver. Cette fois, nous nous pencherons sur les erreurs dont est parsemé le Coran.

En traduisant le Coran en français ou en toute autre langue, on cherche à cacher les erreurs et les contradictions qu’il renferme mais, comme le dit le proverbe tunisien : « Celui qui vole l’emporte sur celui qui cache. » Il suffit de refuser de se soumettre à cette religion qui aveugle l’esprit pour être à même de repérer les erreurs que comportent ses textes dits « sacrés. ».

Sachant que le Coran en langue arabe comporte encore plus d’erreurs flagrantes que les autres versions, il est facile de comprendre que les mots peuvent y être facilement interprétés dans un sens ou dans un autre, ceci afin de les faire correspondre à une idée fixée au préalable. Malheureusement, pour s’apercevoir de la manipulation, il faut posséder une bonne connaissance et de la langue arabe et du Coran lui-même. Si le musulman de base n’y voit que du feu, les oulémas, en revanche, connaissent parfaitement tout cela.

D’ailleurs, ils étudient erreurs et contradictions pour le but de les dissimuler au peuple. Depuis son apparition, il y a 1400 ans, les oulémas cherchent même à corriger ces contre-sens et anachronismes par le biais de plusieurs méthodes toutes plus malhonnêtes les unes que les autres : le détournement des sens des mots, l’introduction de mots non arabes et aussi la création d’une grammaire s’adaptant au seul Coran… On le voit : la liste est longue. Notons-le aussi : c’est la langue arabe qui doit se rallier au Coran et non l’inverse.

Mais aujourd’hui n’est plus hier et ce genre de pratique ne peut plus passer inaperçu. Aussi devient-il très difficile de modifier la dernière version que l’on a datée de 1932. Et même si les différences semblent tout d’abord minimes, elles n’en existent pas moins et sont loin d’être insignifiantes.

Ainsi peut-on lire dans le chapitre XIX (Marie), verset 28 : « Ô. Soeur de Aaron ! ton père n’était pas un homme mauvais et ta mère n’était pas une prostituée ». Mais le Aaron ici cité n’est pas le frère de Marie, mère de Jésus, mais plutôt celui de Moïse. Voilà un verset qui vient le confirmer : « Paix sur Moïse et Aaron » (Chapitre 37, verset 120)

Le Coran confond visiblement Marie, mère de Jésus et Marie, sœur de Moïse. Tout le monde sait d’ailleurs que Marie n’a jamais eu aucun frère répondant au nom de Aaron. Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres, l’un de ceux qu’il est plus facile de distinguer en arabe qu’en français.

Bien sûr, les oulémas connaissent cette erreur qui relève de l’anachronisme pur et simple. Mais ils cherchent à la contourner en affirmant qu’il s’agit d’un autre Aaron et non de Aaron, frère de Moïse.

Seulement voilà : cette explication ne fournit pas pour autant à Marie, mère de Jésus, un frère appelé Aaron ! Le seul frère qu’aurait eu la mère du Christ s’appelait Yahya, et, en réalité, ce Yahya n’était pas son frère par le sang. Simplement, ils avaient grandi ensemble lorsque Marie avait été confiée à Zacharie, le père de Yahya, qui l’avait prise en charge.

Le verset 37 du chapitre 3 nous dit à ce sujet : « Son Seigneur l’agréa alors du bon agrément, la fit croître en belle croissance. Et Il en confia la garde à Zacharie. Chaque fois que celui-ci entrait auprès d’elle dans le Sanctuaire, il trouvait près d’elle de la nourriture. Il dit : « Ô Marie, d’où te vient cette nourriture ? » – Elle dit : « Cela me vient d’Allah ». Il donne certes la nourriture à qui Il veut sans compter. « Zacharie : c’est le père de Jean-Baptiste (Yahya). »

Comme on le voit, tous les moyens sont bons pour cacher ces graves erreurs et contre-sens à la masse des croyants. De telles falsifications relèvent du rôle des oulémas, et ce depuis des siècles. Ils sont d’ailleurs formés entre autres pour cette mission. Alors parole divine ou invention humaine ?

On peut lire l’interprétation suivante de ce verset :
Ibn Jabir a avancé : « Concernant l’appellation « sœur d’Aaron », il est connu qu’à cette époque les gens s’attribuaient aux Prophètes et aux hommes vertueux en prenant leurs noms. Cet Aaron désigné est un autre Aaron que le frère de Moïse (que le salut de Dieu soit sur lui), et il a ajouté qu’il était un homme pieux et juste et lors de sa mort, 40 000 hommes avaient suivi son convoi funèbre et ils portaient tous le nom Aaron parmi les fils d’Israël. »

D’autres disent que l’on appelait Marie, « sœur de Aaron » parce qu’elle descendait de Aaron …

Tout cela n’a rien de logique. De plus ces interprétations s’appellent « ahad », c’est-à-dire qu’elles ont été rapportées par une seule personne. En outre, aucune source historique ne parle de ce fait. Et puis Marie n’a jamais fréquenté d’hommes, du moins d’après l’Islam, alors comment peut-elle avoir un frère, voire un ami ? Et même en admettant que ce qu’ils avancent est vrai et que tout le monde s’appelait Aaron à cette lointaine époque et dans l’entourage de Marie, cela ne prouve en rien qu’elle a côtoyé l’un d’eux.

D’autres disent qu’en effet, Marie n’avait pas de frère. Mais chez les Arabes, tout le monde peut utiliser le terme « frère » – ou « sœur. ». C’est-à-dire « celui avec qui l’on a le même père et/ou la même mère ». Chez les Arabes (et les Africains), le « frère » peut être tout simplement un cousin proche ou éloigné. Or il y avait, paraît-il, à l’époque un juif d’une grande bonté et réputé pour sa piété, qui appartenait à la tribu de Marie et qui s’appelait Haroun (Aaron).

Donc, de quelque façon que l’on retourne la question, on finit par aboutir à l’équation suivante : « Frère = une personne très proche, un familier. » Or, nous savons tous que Marie passait son temps à méditer chez Zacharie et ne recevait personne, et surtout pas d’hommes. Dans ces conditions, d’où vient ce « frère » ?

Même s’il s’agissait d’un homme pieux comme le prétendent certaines traductions, l’Histoire l’aurait aussi évoqué ! Des preuves auraient prouvé son existence. On observera d’autre part que le reste du verset confirme l’hypothèse du frère par le sang de Marie, puisque l’on y évoque ses parents. En bonne logique en effet, si l’on dit : « Ô sœur de X, ton père était… et ta mère… » X est dans le contexte le frère par le sang – et personne d’autre.

Mais alors, pourquoi le Coran ne s’est-il pas contenté de dire : « Ô Marie.. » ?

On raconte que cette erreur fut commise à l’époque de Othmane (3e calife) et que, comme tant d’autres, elle ne fut pas corrigée par la suite.

Par conséquent, le Coran, au même titre que les autres livres sacrés devraient être considéré comme un ouvrage mythologique. D’autant que les lois datant du VIIe siècle qu’il nous rapporte sont aujourd’hui parfaitement obsolètes.

Quant à moi, je propose de le mettre tout bonnement au musée. C’est la seule place qu’il mérite, la seule où il pourra montrer sans danger au monde la haine et la cruauté humaines des versets qu’il égrène parfois avec poésie. Quant aux verset soft, ils ne sont que le reflet de la sagesse de certains penseurs de cette époque. Pour prendre conscience des unes comme de l’autre, nous n’avons besoin ni du Coran, ni d’un quelconque autre livre déclaré « sacré » par les ambitions humaines.

Par : Mohamed Karim Labidi

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J’étais enragé

J'étais enragé

J’étais enragé

J’étais enragé

j’ai pris le téléphone pour appeler

un ami pour me consoler.

Il commença à parler

pour me calmer.

Il m’a rappelé si lointaines années

Dans mon enfance,

par la piété, les gens me reconnaissaient

et par la prière tous les jours dans la mosquée.

Le Coran par cœur je l’apprenais

et le carême jour après jour je faisais.

Dans mon adolescence, j’ai loin voyagé

et dans les écoles islamiques j’ai étudié

pour devenir imam de renommée

et guider les gens égarés ;

leur enseignant ta parole si sacrée.

Dans ma jeunesse, j’ai voulu vous prouver

mon amour illimité.

Mon sang, je vous offrirai.

Mon corps, je sacrifierai

pour vous rencontrer.

Et un jour, pas comme les autres,

mes yeux se sont ouvrit

et le doute m’eut gagné.

Me voilà égaré de toi…

Me voilà libre de toi.

Je refuse de croire en toi.

Tu n’existes plus pour Moi.

Je refuse de me prosterner une autre fois.

Je vis ma vie comme je vois.

Aucun droit, tu n’as sur Moi.

J’ai oublié tout mon passé.

Je vis le présent comme il se doit

et le futur j’attendrai.

Jusqu’à ma mort je t’affronterai.

Je leur dis que l’islam rabaisse la femme

C’est mon choix et je continuerai.

Par : Labidi Karim Mohamed

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Où réside le danger de croire ?

Où réside le danger de croire ?

Je me suis demandé, à maintes reprises, où réside le danger que représente les religions sur l’humanité, d’aujourd’hui et demain ? Est-ce dans l’idée de croire en un « dieu » ? Où a une religion ? Non, je ne le pense pas, croire en « dieu », ou une religion seulement, ne représente aucun danger sur l’humain, s’il ne dépasse pas la simple croyance.

Je n’ai rien contre « dieu » lui-même, ou une religion en tant qu’idée ou en tant que réalité, à partir du moment que l’influence ne dépasse pas l’enrichissement intellectuel.

Où réside le danger de croire ?

Où réside le danger de croire ?

Il existe plusieurs choses auxquelles l’être humain croit, indépendamment de leur réelle existence ou non, tel les extra-terrestres ou les forces du mal ou du bien. Le problème c’est que généralement on ne s’arrête pas au niveau de la simple croyance.

L’idée de « dieu » est très ancrée dans l’esprit des Hommes au point que la vie de la personne ou du groupe en dépend, presque entièrement. Le plus dangereux réside dans le fait que cette croyance est suivie d’autres idées encore plus dangereuses comme celle qui place l’être humain comme représentant de la nature divine dans l’Univers.

Cette approche est la plus inquiétante, tout au long de l’histoire, d’autant plus que certains Hommes se sont présentés comme étant les envoyés de « dieu » pour guider l’humain sur le chemin de la vérité et de la droiture qui ramène à « dieu ».

Les envoyés de « dieu », on ne peut les considérer comme les bienfaiteurs de l’humanité parce que leur message se base sur un dogme bien tracé pour atteindre des objectifs et satisfaire des ambitions de leur peuple. Pour changer la situation économique et politique de leur région, ils ont eu recours à des méthodes qu’elle leur permet d’atteindre les simples d’esprits, victimes des injustices de leur époque.

Le statut de prophète leur offre le plein pouvoir sur leur entourage, non pas grâce à leur intelligence mais à leur malignité. Ils ont très bien su profiter de la situation en faisant la synthèse de ce qui était présent à leur époque pour faire passé l’idée qu’il s’agit d’une nouveauté.

La nouvelle religion, dite envoyée par « dieu » pour sauver les âmes égarées, n’est autre qu’un rafistolage malin pour récupérer le pouvoir en général. Et crée une opposition forte contre le système en place et le renverser, ont peux dire que les religions sont une sorte d’opposition au pouvoir en place.

Cette méthode est utilisée, tout au long de l’histoire, au sein de la même famille. Il suffit de relever les points communs qu’on trouve dans toutes les religions pour s’en rendre compte aisément. La technique est héritée, de père en fils, et elle est bien protégée par la loi du secret de famille pour accéder au rang de la prophétie.

L’ambition de ces prophètes dépasse, largement, la simple dominance politique, elle vise l’emprise absolue sur l’ensemble des esprits dans ses moindres détails d’actions. Ils veulent que toute l’humanité pense comme eux en les dépouillant de leur libre arbitre à travers leur parfaite présentation dite infaillible.

Ils se permettent tout au nom de « dieu », ils se placent juste en-dessous afin de mieux dominer leur œuvre. Ce sont des hommes qui veulent maintenir l’humanité sous tutelle de leur point de vue pour qu’elle progresser dans la direction que eux l’ont voulu qu’elle soit.

En revanche, les suivistes appartiennent à une autre catégorie de personnes. Ils peuvent être, en effet, de bonne foi, comme de mauvaise foi, seulement, ils demeurent complices du projet général mi par les prophètes pour l’humanité dans sa prise de conscience et son sens de responsabilité.

Ils ont choisi le chemin le plus facile, celui de suivre sans la moindre réflexion personnelle. Les plus par de c’est individus peuvent se considérer comme des savants de l’ignorance qui constituent un danger pour le progrès de l’humanité.

C’est notre devoir à tous d’empêcher ces individus de nuire en procédant à des bourrages de crânes des plus vulnérables d’entre-nous. Il faut stopper cette entreprise qui fabrique des esclaves… Et des suivistes téléguider par des hommes qui ce dise protecteur du pouvoir d’un « dieu » que eux même ont hérité.

C’est la raison pour laquelle il faut combattre le phénomène religieux par tous les moyens pour libérer l’être humain de son emprise. La dépendance religieuse devrait cesser pour permettre à l’Homme d’accéder à ses propres responsabilités.

La séparation de la religion de la politique ne suffit pas, et cela et bien claire en Europe et en Turquie et en Inde…il faut procéder à celle de la séparation de la religion de la société, voire même, de l’individu pour que l’homme respire un air nouveau digne de sa condition humaine.

Peu importe en quoi ou en qui pour vu que notre foi soi solide et réelle. La foi naît par nous et ne devrait être imposée ni par la tradition ni par la société…

Par : Mohamed Karim Labidi

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