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L’idée d’Une seule origine…

L’idée d’Une seule origine…

Adam, le père commun de toute l’humanité, Eve l’unique mère de tout être humain, Dieu notre seul créateur, la seule origine de l’Univers. Le Un comme base de tous les nombres, le Point source de toutes écritures ou schémas. La racine absolue d’où on provient et vers laquelle on se dirige.

C’est sur cette idée que toutes les religions, les sectes et les politiques totalitaires se sont appuyés pour se faire entendre. Une seule et unique origine pour tout le monde, un seul gouvernement, un seul parti au pouvoir, une seule force, un seul responsable, une seule politique, une seule idéologie.

L'idée d'Une seule origine...

L’idée d’Une seule origine…

L’opposition est interdite, l’autre doit disparaître. Il n’y a qu’une seule force reconnue, une idée cache une autre, un mensonge sans preuve auquel on doit croire et prendre comme une vérité absolue. Même ceux qui se disent rationnels et scientifiques cherchent la vérité à travers le UN et oublient les autres UNS.

L’influence religieuse de cette approche est sans équivoque. La réunion de l’ensemble dans le UN était nécessaire pour pouvoir aborder l’univers infini qui nous entoure et l’approcher sans crainte et sans le risque de se perdre.

L’humanité a toujours su changer de direction à chaque fois qu’elle se confronte à une impasse. C’était, et c’est toujours le cas, le seul moyen de progresser dans les labyrinthes de la vie. Elle a inventé les religions, par nécessité, afin de pouvoir franchir un obstacle qui l’empêche d’aller vers l’avant.

Parce que l’Homme évolue, et le monde avec, chaque invention humaine devient, elle-même, un obstacle dans l’avenir. En revanche, les méthodes et les idées reçues demeurent les mêmes sous prétextes de l’origine commune. L’idée du Un absolu nous bloque sur tous les niveaux : idéologique, politique, économique…

Et continuer à ne plus avancer de la sorte ne fait que nous retarder de notre conquête de l’univers environnant. Notre orgueil nous empêche d’inaugurer une nouvelle étape, dont rêve l’humanité, celle du « Non Un absolu » mais du « Un infini » sans limite. Celle du Un multiple qui s’harmonise avec l’ensemble des autres Uns. Celle du Un souple, le Un d’être différant, le Un d’être plusieurs, le Un sans Un.

Il faut être capable de se libérer de cet Un pour reprendre le chemin de l’évolution. Cette idée doit être, non seulement, abandonnée mais aussi combattue par tous les moyens afin de se délivrer de son emprise. Pour pouvoir accéder à une nouvelle étape de notre évolution, on peut attendre passivement que cela se produise naturellement. Seulement, le problème c’est que cette solution nous fera perdre beaucoup de temps et le pire c’est qu’elle risque de nous coûter plusieurs vies humaines suite au développement galopant des armes de destruction massive.

L’ensemble de l’espèce humaine est menacé si une seule force gagne et décide d’exterminer le reste afin de confirmer et de réaliser l’idée du UN absolu. Notre temps n’est plus celui des anciens et les menaces sont différentes. Aujourd’hui, le monde est de plus en plus petit, la moindre action provoque des répercussions immédiates sur l’ensemble de la planète. Chacun de nous doit prendre son destin en main au lieu de continuer à se laisser guider par une poigné d’illuminé qui cherche à gouverner le monde au détriment des autres protagonistes.

La recherche du pouvoir du Un sur le monde est dévastatrice pour l’ensemble de l’humanité. Oui, la guerre des Uns est belle et bien lancé et chaque Un se croit le meilleure et cherche à détruire les autres Uns. Seulement, les plus dangereux de tous les Uns, se trouvent le Un islamiste et le Un impérialiste qui se rivalise pour la domination de la planète quitte à mettre la Terre à feu et à sang pour aboutir sur une seule force totalitaire.

Par : Mohamed Karim Labidi

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La liberté est l’ennemie N°1 de l’islam

La liberté est l’ennemie N°1 de l’islam

Voilà 10 ans que j’ai quitté l’islam orthodoxe et que je me suis libéré de la tutelle islamique, et je suis toujours convaincu que l’ennemi numéro un de l’islam est la liberté : l’islam se développe certainement dans la censure et l’oppression et cela dès le début de l’apparition de l’islam, il y a 1400 ans, et c’est pour cela que les islamistes font absolument tout pour passer aux yeux de la masse musulmane comme des victimes et des opprimées. Ce n’est pas par hasard aussi que l’islam interdit la critique, tue l’apostat et refuse la discussion avec les non musulmans, sauf dans un but bien précis et dans un cadre bien déterminé à l’avance.

La liberté est l’ennemie N°1 de l’islam

La liberté est l’ennemie N°1 de l’islam

Que ça soit en Tunisie après le 7 novembre, ou après le 11 septembre, j’ai toujours été contre toute censure des islamistes dans le monde arabo-musulman ou ailleurs, et contre toute opération militaire contre eux, ainsi que contre leurs arrestations.

Je suis convaincu que tout cela ne va que les renforcer, cela est justifié par l’histoire en période de l’apparition de l’islam en Arabie, c’est surtout avec l’interdiction de celui-ci qu’il s’est propagé comme un virus partout.

L’islamiste se cache derrière des principes civilisés et humanistes comme la liberté simplement pour arriver au pouvoir et par la suite, interdire la liberté au nom de Dieu, Mohamed lui-même et à La Mecque s’est montrée tolérant et ouvert, mais dès qu’il a pris le pouvoir à la Médina, il a changé le discours.

Cela peut être justifié par la différence entre versets coraniques de La Mecque et ceux de la médina, ce qui est une preuve que l’islam utilise le double langage et la ruse pour arriver à son but. Cela en plus n’est propre à l’islam, mais à tous les mouvements racistes, dogmatiques et autoritaires, car se montrer tolérant et altruiste n’est qu’une façade pour convaincre la masse, ni plus ni moins, mais en réalité, les islamistes ne connaissent pas ce que veut dire mot liberté puisque l’islam ne contient rien de la liberté, cette religion est soumission et suivisme total.

Il ne faut pas tomber dans le piège des islamistes et croire à leur mensonge au nom de la liberté, malheureusement ils savent très bien que la majorité de la population islamique est soumise et dominée par le pressentiment religieux, alors ils en profitent pour gagner le maximum de voix avec une compagne fondée sur le côté émotif des musulmans.

Ces derniers croient en dieu et son paradis et qui votent pour eux par peur de allah, que plutôt se fonder sur un programme politique ou économique qui peut répondre aux attentes des Tunisiens.

Afin de faire face à ces islamistes et à leur endoctrinement déloyal en Tunisie ou ailleurs, il faut se créer des limites et les respecter, il faut que le gouvernement utilise des lois pour punir tout appel à l’acte de violence. Chacun a le droit de critiquer et de parler de son point de vue, mais sans dépasser ses limites, car il ne faut pas tomber dans la diffamation qui doit être condamnée elle aussi par la loi, ni dans les mensonges. Tout cela doit passer par la justice et les lois, sans cela, l’islamisme va continuer à grandir dans l’ombre pour maintenir la masse populaire dans l’ignorance, la soumission et la peur de leur dieu.

Toute personne qui veut interdire la liberté au nom d’une personne, d’une idéologie, de dieu ou d’une religion n’a pas de place dans le monde libre et civilisé ; les islamistes se croient détenus la vérité absolue et n’acceptent pas la critique et la liberté d’expression. Pourquoi n’acceptent-ils pas l’autre ? Il faut donner la liberté vraiment aux gens de dire et de faire ce qu’ils veulent dire ou faire dans la cadre de la loi bien claire et définie pour tout le monde, pas de diffamations, pas de mensonges, pas d’appel à la violence et pas de droit d’exclure l’autre. Celui qui ne respecte pas ces règles qu’il soit islamiste ou autre sera puni selon la loi comme un criminel qui transgresse la loi et pas parce que c’est un islamiste ou autre ; Quant à la violence verbale et physique, elle doit elle aussi être punie selon la loi et c’est ainsi qu’on donne la liberté à tout le monde.

La liberté est un droit pour tout le monde, par contre, pas de liberté pour ceux qui sont contre la liberté ou qui cherchent à l’interdire au nom du sacré ou autre, car le sacré pour l’un n’est pas nécessairement sacré pour l’autre.

Enfin, je finis pour dire que la liberté est l’ennemi numéro 1 de l’islam et pour cela que ces derniers qui pleurent le manque de liberté sont les premiers à l’interdire, une fois ils ont le pouvoir. Pour leur faire face et leur barrer la route, il faut instaurer un cadre libre bien solide, protégé par la constitution qui punit toute censure quelle qu’elle soit, tout le monde a le droit de parler, de critiquer et d’exprimer son point de vue par l’art, la parole ou les écrits ou encore le cinéma… Et toute personne s’opposant au nom de son dieu ou à ses croyances par la violence sera punie par la loi.

Par : Mohamed Karim Labidi 

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Le pari de Pascal

Le pari de Pascal

J’ai la parfaite conviction, que même si Dieu existe, il ne pourrait être comme le décrive les religions. Mathématiquement, on a montré que croire à un Dieu, était plus logique que de ne pas croire en lui ? Comment cela est-il arrivé ? Ceux qui défendent cette idée se basent sur cette démonstration ou pari de Pascal :

Blaise Pascal dit : premièrement pari, prenons le cas d’une personne croyant à un Dieu. Une fois morte, cette personne va se trouver devant deux situations :

  • – Soit Dieu existe, et dans ce cas elle a gagné donc elle a plus un (+1).
  • – Soit Dieu n’existe pas, et dans ce cas elle n’a rien perdu donc elle a zéro (0).

L’ensemble des deux résultats nous donne plus un (+1). Par conséquent, cette personne est gagnante et ce dans les deux cas. Il vaut, donc, mieux croire à un Dieu.

Deuxièmement pari, prenons le cas d’une personne non croyant à un Dieu. Une fois morte, cette personne va aussi se trouver devant deux situations :

  • – Soit Dieu existe, et dans ce cas elle est perdante. On lui attribue, donc moins un (-1).
  • – Soit Dieu n’existe pas, et dans ce cas elle n’a rien gagné. Elle a droit à un zéro (0).

L’ensemble des deux résultats de ce pari nous donne moins un (-1). Dans le premier cas la personne est perdante. Par conséquent, elle prend un risque de 50% de perdre.

Suite à ses résultats de ce pari, il vaut mieux croire en un Dieu.

Le pari de Pascal

Le pari de Pascal

Avouons-le que cette logique est très forte. J’ai, même, été très croyant à cette logique sans sentir le moindre doute se glisser en moi quant à l’existante de Dieu. J’ai trouvé le salut absolu en croyant en lui. D’ailleurs, je suis sûr que parmi vous, il y en a ceux qui trouvent en cette logique une grande victoire.

Cependant, le problème est beaucoup plus complexe. Ça va au-delà d’une simple opération mathématique et ne retient pas seulement le fait de croire ou de ne pas croire à un Dieu. D’ailleurs, si l’affaire s’arrêtait à ce stade il n’y aurait aucune raison que les athées déclarent la guerre intellectuelle contre les religions. Essayons, alors, de chercher beaucoup plus loin et de voir autrement.

Tout d’abord, pour croire en un Dieu il faut choisir entre plusieurs dieux. Ainsi on peut croire au Dieu chrétien, au Dieu juif, au Dieu hindou, etc. Ensuite, on peut soit croire à un Dieu depuis la naissance, c’est à dire suivre celui des parents soit croire à un Dieu qu’on a choisi durant sa vie. A présent, poursuivant notre démonstration, en se basant sur des méthodes mathématiques.

Premièrement, supposons qu’il existe 5 sortes, seulement, de croyances à une divinité existante. On aura, alors, une chance sur cinq de tomber sur le « bon » Dieu. Ce qui nous laisse la probabilité de quatre sur cinq d’être au même degré qu’un athée. On peut déjà constater que le risque est beaucoup plus important pour le croyant que pour l’athée. Ainsi, en matière de risque, l’athée prend le moindre risque que celui qui croit en Dieu.

Deuxièmement, il ne suffit pas de croire ou de choisir le « bon » Dieu existant, il faut aussi en croire à son prophète et à son livre sacré et pour cela il faut tomber sur la « bonne » secte. Comme nous le savons, chaque religion se divise en plusieurs sectes qui, chacune interprète à sa manière les propos divins.

On supposera, alors, que chaque religion se divise en cinq grandes sectes. Sans oublier de mentionner que, d’un côté, il y en a beaucoup plus que cinq et que, d’un autre côté, chaque secte affirme que les autres sont fausses. Ce qui augmente le risque de se tromper parce qu’il faut, en plus de la religion, choisir la « bonne » secte.

En joignant la première et la seconde supposition. On aura, ainsi, 1 chance sur 25 de tomber sur la bonne. Continuons de supposer qu’on a eu une grande chance de tomber sur la bonne. Désormais, le chemin ne s’arrête pas là parce que le vrai croyant c’est le « bon » pratiquant et s’il ne pratique pas il sera presque au même degré que celui qui ne croit à rien, et même pire parce que dans ce cas il n’est ni non croyant ni infidèle mais un hypocrite, et toutes les religions condamnent ce dernier .

Il sera, même le plus châtié par Dieu parce qu’il sait ce qui est juste tout en ne l’accomplissant pas. Il sera, ainsi doublement châtié que celui qui ne connaît pas ou celui qui n’a pas cherché. Pratiquer, ce n’est pas facile, non plus, il faut sacrifier sa vie qui n’est, pour un croyant, qu’un simple passage vers la vie éternelle.

Le croyant qui a une chance sur 25 d’être sur le bon chemin doit en plus sacrifier sa vie pour Dieu à travers les prières, les obligations, etc. et même pouvoir être capable de mourir pour Dieu et devenir un martyre.

Que sera la réaction de ce dernier, si, une fois, mort ne trouve pas le Dieu en qui il a cru durant toute sa vie ? Comment ose-t-on dire qu’il n’a rien perdu ? Pourtant, il a perdu toute sa vie,. Au contraire, il est perdant à 100% et non pas comme l’athée, s’il trouve Dieu il va perdre, seulement, 50%. Franchement, pour être un bon calculateur il faut procéder autrement. Reprenons, alors, notre démonstration en introduisant la variable « Vie ».

Prenons le cas de celui qui tombe aussi bien sur la « bonne » religion que sur la « bonne » secte et qu’il soit un vrai pratiquant :

  • – Si Dieu existe : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et gagné après la mort donc il a plus un (+1). Le tout donne zéro (0).
  • – Si Dieu n’existe pas : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et n’a rien gagné après la mort donc il a zéro (0). Le tout donne moins un (-1).

L’ensemble des deux résultats donne moins un (-1) et ce dans les meilleur des cas.

A présent, prenons la situation d’un athée :

  • – Si Dieu existe : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort son cas ne sera pas pire qu’un mauvais croyant ou qu’un non pratiquant ni d’ailleurs de celui qui n’est pas tombé sur le bon Dieu, donc la note ne sera pas catastrophique même si on lui donne moins un (-1). Le tout donne zéro (0).
  • – Si dieu n’existe pas : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort, il n’a rien perdu au moins il a bien vécu sa vie donc on lui donne zéro (0). Le tout donne plus un (+1).

L’ensemble des deux résultats donne plus un (+1).

A partir de cette démonstration, l’athée sort vainqueur. Ce qui est beaucoup plus logique parce qu’il faut ajouter à cette opération mathématique plusieurs autres variables et pour n’en citer que la plus importante. Il s’agit, bien évidemment de cette vie réelle qu’il faut vivre bien avant toute autre chose.

Cette fois, l’athée est vainqueur, bien avant même le bon croyant qui a sacrifié sa vie pour un Dieu. De plus l’athée a bien vécu sa vie ; il a connu une vie libre et il a profité de tous ses plaisirs. Il a, ainsi, compté sur lui-même et non pas sur un Dieu.

Pour finir, il n’y a pas de Dieu démocrate qui nous donne notre liberté, ne serait ce que la liberté de croire ou de ne pas croire en lui, sans trop nous alourdir des prières et des obligations contre la nature humaine et des lois contre toute logique, comme s’il ne connaissait rien sur la nature humaine.

Il manque vraiment de connaissance et de civilisation. Il ne sait que nous infliger des châtiments barbares tel que l’idée de l’enfer. Même, s’il existe un Dieu digne d’être un Dieu qui me donne une totale liberté de ne pas croire en lui. Eh ! Bien je suis près à ne pas croire en lui.

NB : si un président dit : « vous êtes libres de me choisir comme président, vous êtes libres de m’aimer et de croire en moi ou de ne pas croire, mais celui qui ne vote pas pour moi ou qui ne m’aime pas sera mis en prison et sera torturé » Et bien dis-moi, ce prédisent a t-il donné vraiment la liberté à son peuple ou pas ? Si c’est oui, comment ? Et bien compare cela à votre dieu ?

Par : Labidi Karim Mohamed

Lire après : Pourquoi je suis athée? >>>

Mariage : ensemble dans la joie et dans les épreuves

Mariage : ensemble dans la joie et dans les épreuves

Le mariage est une sorte de société personnelle basée sur un contrat de type particulier entre deux individus adultes et responsables. En fait, le mariage représente le sommet de l’ordre qui régit les relations sexuelles humaines dans le but de former une famille et de perpétuer la race humaine.

En effet, on rencontre plusieurs modes de mariage en fonction des nations, des religions, des circonstances et des croyances et ceci en raison de la richesse de la nature humaine et de sa capacité d’adaptation.

Pour le meilleur et surtout pour le pire

Pour le meilleur et surtout pour le pire

Après toutes les expériences, dans le domaine du mariage, que l’humanité a connues tout au long de son histoire, l’être humain actuel doit- il faire prévaloir un modèle au détriment des autres ?si on répond par l’affirmative, ceci voudrait dire que l’on n’a pas retenu la leçon que nos ancêtres ont bien voulu nous faire parvenir sur la diversité de la nature humaine.

En effet, chaque être humain doit disposer de liberté absolu du choix du mode d’union qui lui convient le plus et dont il est le seul et unique responsable. Ainsi notre devoir se limite à présenter les différentes possibilités du mariage avec toute objectivité sans oublier qu’il peut y avoir de nouveaux types à l’avenir en fonction du besoin humain.

Le mariage est un contrat entre deux personnes selon des conditions particulières afin de jouir du plaisir sexuel, de partager une vie commune ou afin de fonder un foyer et d’avoir des enfants ou encore pour deux ou l’ensemble de ces objectifs. Ainsi il existe trois types de mariage tout comme il existe trois buts à vouloir contracter un mariage.

Ainsi, on note la présence de sept combinaisons possible de types de mariages : pour fonder un foyer, pour le plaisir sexuel, pour partager une vie commune, pour ces trois derniers à la fois, pour fonder un foyer et le plaisir sexuel, ou pour fonder un foyer et partager une vie commune ou encor pour le plaisir sexuel et le partage d’une vie commune. Autrement dit, le mariage le plus complet est celui qui réunit ces trois objectifs en même temps.

Maintenant on passe à la présentation des trois types de mariage existants à la base. Tout d’abord, on rencontre ce qu’on appelle le mariage coutumier ou illégal que l’on peut attribuer aussi à l’union libre. Ce mariage libre ne se rattache ni à la législation religieuse ni à la législation laïque et n’exige aucun écrit puisqu’il se limite à l’échange du consentement mutuel des deux contractants en l’absence de témoins et d’un délai de validité du contrat. Ensuite on rencontre le mariage à durée déterminée, c’est- à- dire qu’il peut durer quelques heures comme quelques années en fonction de la volonté des contractants.

Ce type de contrat est renouvelable et soumis à des conditions qui nécessite la présence d’au moins un témoin et d’un écrit sous- seing privé qui n’engage que les intéressés. Ce mariage s’arrête automatiquement à la fin du délai ou en cas de non- respect de l’une des conditions par l’un ou l’autre des co- contractants.

Enfin, on rencontre le troisième type de mariage qui est le plus connu et le plus fréquemment utilisé, il s’agit du mariage à durée indéterminée qui peut être d’ordre religieux ou laïque même si dans la plupart des pays on a tendance à mélanger les deux. La fin de ce type de mariage ne se concrétise qu’à travers le divorce et constitue le mode d’union le plus mûr et le plus responsable dont les conditions sont régies par la loi qu’elle soit religieuse ou laïque.

Après avoir présenté les objectifs et les types de mariage, on passe aux différentes conditions qui peuvent régir un contrat de mariage. Tout d’abord on trouve le principe de la dote qui n’est pas obligatoire et qui peut être de la part de l’homme vers la femme ou le contraire en fonction de la culture à laquelle on appartient.

Ensuite, on trouve la désignation du responsable permanent des dépenses quotidiennes du ménage et si elles doivent être à la charge des deux ou d’une seul personne, de même qu’il faut choisir si le mariage doit être sous le régime de la communauté des biens ou celui de la séparation. Ensuite on trouve ce qu’on appelle le devoir conjugal ou les deux parties doivent se mettre d’accord sur la fréquence des rapports sexuels et leurs modes d’exercice.

Ensuite on rencontre le principe de la polygamie ou les contractants doivent s’entendre à égalité, sur la multiplication des partenaires de la part et d’autres et non uniquement, comme c’est souvent le cas, pour l’homme au détriment de la femme.

Enfin on trouve la question du nom que l’on attribuer à l’enfant et jusqu’à présent on ne reconnaît que le nom du père, or la mère a également le droit d’imposer son nom au même titre que le père si elle le désire, il lui suffit d’imposer cette condition au départ, de même qu’il lui est possible d’imposer uniquement son nom et non celui du père.

En outre, la femme peut garder son propre nom après le mariage au lieu de se fondre dans celui de son mari, qui peut s’il le désire emprunter celui de sa femme pour changer un peu de même qu’il peut avoir les deux noms pou les deux partenaires.

On se limite aux conditions principales puisque les secondaires sont illimitées et variable en fonction de la volante des deux parties contractantes. Ainsi, on peut introduire, par exemple, le partage des tâches ménagères, le nombre d’enfants désirés et ainsi de suite.

Pour finir, on précise que le mariage ne doit pas seulement se réaliser entre un homme et une femme puisqu’il peut être entre deux femmes ou deux hommes. Ainsi le mariage peut s’effectuer entre deux être humains, indépendamment de la nature des sexes, et sans qu’il y ait nécessairement une relation sexuelle entre les contractants à l’image de ce que l’on appelle en France le PACS.

Par ailleurs, le droit à la reproduction ou à l’adoption n’est pas limité aux couples de nature mixte mais doit être accordé à tout être humain adulte et responsable.

En outre, je tiens à soulever une dernière question qui est celle de la virginité de la femme. Certes cette question ne pose plus problème dans les pays occidentaux mais reste un tabou dans la plupart des autres coins de la planète et même à l’intérieur de certaines couches sociales occidentales.

En fait la virginité est une affaire purement personnelle qui ne concerne que la femme et dont elle est seule propriétaire. Par conséquent, elle doit être la seule à décider de son sort et de son élimination qui peut être par voie médicale, seule ou à l’aide d’un partenaire de son choix, au moment voulu.

Doit- on rappeler que la virginité féminine fait partie de notre reste du corps animal au même titre que les dents de sagesse et l’appendicite qui vont disparaître naturellement avec le temps et l’évolution de l’espèce humain.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Pourquoi je suis athée ?

Pourquoi je suis athée?

J’ai la foi en l’Homme. Je suis athée mais j’ai la foi car je ne crois pas qu’il existe une divinité autre que l’être humain. Mais cela ne m’empêche pas de respecter ceux qui croient en dieu et dont la croyance est personnelle et ne cherchent pas à l’imposer et que ça ne dépasse pas la sphère privée.

Pourquoi je suis athée?

Pourquoi je suis athée?

Pour moi un dieu n’est pas seulement qui a conçu le monde …

Un dieu devrait plutôt veiller sur ce monde et faire en sorte qu’il soit meilleur. Est dieu celui qui mérite de l’être et non pas celui qui se l’auto proclame.

Le sujet est très long mais je veux juste dire une chose ici et que je répète à moi-même : si dieu existe vraiment, je le combattrai de toutes mes forces et je refuserai de me soumettre à lui parce qu’il ne le mérite de l’être. Et ce jusqu’à ce qu’il me prouve le contraire.

Je suis dieu de moi-même. Et chacun l’est pour lui. Personne n’est dieu sur l’autre. Une seule chose me suffit pour avoir la foi athée : un dieu qui me demande de croire en lui ne mérite simplement pas d’être un dieu.

Pareil, un dieu qui me fera dépendre de lui et de sa croyance, je dois m’en libérer et le combattre. Car il est doublement malhonnête.

L’idée de dieu en elle même n’est pas mon souci premier. Mais je combats fermement tout ce qui est illogique et révolu, inventé par l’Homme et collé à dieu, qui n’est en fin de compte qu’un rêve de nos ancêtres, devenu un vrai cauchemar humain qui nous fais régresser sur tous les plans.

Quant aux religions, pour moi elles sont fabriquées de toute pièce par des humains. Et je dis toujours que même si dieu existe, les religions seraient donc l’invention du diable car elles sont loin d’être divines et encore moins humaines.

Donc je suis athée par la force de ma logique qui dit :

  • S’il existe et ne peut rien faire pour rendre ce monde meilleur, alors il ne mérite pas d’être un dieu.
  • S’il existe et ne veut rien faire pour rendre ce monde meilleur, alors il ne mérite pas d’être un dieu.
  • S’il existe et ne sait pas faire pour rendre ce monde meilleur, alors il ne mérite pas d’être un dieu.
  • S’il existe et qu’il a de fortes excuses pour en pas agir de la sorte, je lui réponds qu’une seule larme d’un être humain suffit pour rejeter toutes ses excuses et ne mérite donc toujours pas d’être un dieu.

Adieu dieu et je suis très clément avec lui. C’est pourquoi je suis athée

Par : Mohamed Karim Labidi

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