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Ma vie Ma Tunisie, livre biographique

Ma vie Ma Tunisie, livre biographique

 

Ma vie Ma Tunisie est un livre biographique qui relate mon parcours personnel à travers les différentes facettes de la Tunisie. Dans cet ouvrage, je partage mes expériences, mes souvenirs et mes réflexions sur l’histoire, la culture et les valeurs de ma patrie. Au travers d’un ton formel, je souhaite transmettre toute la richesse et la diversité de Ma vie Ma Tunisie.

Découvrez le livre du Mohamed Karim Labidi “Ma vie Ma Tunisie, livre biographique

Voici un fragment de mon livre témoignage : « Ma vie Ma Tunisie », vous pouvez méditer cet extrait que je partage avec vous, suivi d’une analyse, avant les élections du 23 octobre mais surtout suite à la polémique autour de la diffusion du film Persépolis sur Nesma TV. (suite…)

Bien choisir son camp

Bien choisir son camp

Bien choisir son camp

Bien choisir son camp

Si j’insiste sur le silence complice des musulmans, ce n’est pas par haine comme beaucoup essaient de le faire croire.

Une personne qui comprend la mentalité des musulmans, comprendra sans problème où je veux en venir et ne créera aucune polémique sur le texte.

Si je dis le même texte en Arabe, aucun, je dis bien, aucun dans le monde arabo-musulman ne dira sur moi ce que disent les ignorants de la mentalité arabo-musulmane.

Je pense et je parle avec ma mentalité et celle de mon peuple.

Je n’attaque pas les musulmans, mais je leur demande des comptes.

Pour moi, un musulman est un vecteur de l’Islam, donc, par ingérence, paresse intellectuelle ou peur il est un vecteur de l’Islam, oui, il est le vecteur d’un crime nommé Islam.

Je ne suis ni Européen, ni occidental, j’appartiens au monde Arabo-musulman, donc, je critique mon monde à moi, je le désigne avec le doigt et je lui dis “vous êtes complice par votre silence”.

Je le fais, non par haine, comme essaient de le faire croire les ignorants des discours dans le monde Arabo-musulman, mais par amour pour ma famille et pour mon peuple.

Je le leur dis et eux, ils comprennent ce que je leur dis.

Preuve en est, aucune, et je dis bien aucune personne appartenant au monde Arabo-musulman ne m’accuse d’être raciste ou intolérant, bien au contraire, ils me respectent car je parle directement avec eux.

Les seuls qui m’accusent sont ou bien des islamistes intégristes et terroristes, parce qu’il savent très bien que mon discours touche au fond de lui-même, le simple musulman qui ne connait rien à l’Islam ou bien les ignorants du danger de l’islam et les socialistes gauchistes et soi-disant humanistes, hypocrites et politiquement corrects qui ne veulent pas que les choses changent et qui ne pensent, ni au monde, ni à nos pays, ni à l’Europe, mais uniquement à leurs intérêts personnels.

Le sujet est très long et dans le monde Arabo-musulman, la discussion sur ce sujet est très grand entre les ex-musulmans, car dans le monde musulman, il y a deux clans :

– Un clan qui s’arrête sur les textes et n’attaque que l’islamisme, sans toucher aux musulmans, ni à l’Islam lui-même, ni à ses livres sacrés et cela était majoritaire avant les soi-disant révolutions Arabes mais beaucoup moins aujourd’hui.

En général, la majorité, était des pro-occidentaux avec des valeurs européennes, comme, la laïcité, les droits de l’Homme à l’européenne et la mondialisation et tous ceux qui suivaient étaient des personnes de culture et d’éducation européenne.
– Dans le deuxième clan, ils se posent la question de savoir pourquoi toute cette haine et pourquoi, toute cette violence.

Ils ont compris qu’il fallait accuser le texte lui-même, donc, ils attaquent l’Islam à sa source dite “sacrée” en totalité car ils comprennent que l’islam est indivisible.

Mais, ils ne s”arrêtent pas à cela, ils attaquent également les islamistes qui veulent appliquer ces textes criminels et ils sont partis bien plus loin encore en comprenant que le mal vient aussi de cette communauté qui se dit musulmane, complice de tous ces crimes.

Je ne parle pas dans le vide, mais d’une situation vécue.

Quand un apostat quitte l’Islam, le danger sur sa vie et sa liberté ne vient pas uniquement des islamistes mais des soi-disant musulmans modérés où le danger vient de leur famille, amis et voisins.

Donc, ils ont compris qu’il fallait réveiller cette masse et lui dire “vous êtes complice”, tant qu’elle ne se sentira pas concernée.

Oui ! Elle est complice, donc, elle doit être plus tolérante, protéger ses apostats et ne plus les terroriser au nom de l’Islam et cela de plus en plus après la soi-disant révolution Arabe en Egypte et en Tunisie.

Le sujet est vaste et mérite une discussion entre personnes civilisées et qui acceptent la discussion pour arriver à trouver des solutions de discours pour faire se réveiller ces musulmans ignorants et leur dire qu’il ne faut pas participer aux crimes de l’Islam.

Je ne m’attaque pas à des personnes qui appartiennent à un peuple ou à un pays, je m’attaque à une idéologie destructrice crue par des millions de musulmans comme étant une révélation sacrée.

Je dis à ces maris, ces pères, ces frères et ces voisins qui se disent musulmans modérés, d’accepter la critique de l’Islam, l’apostasie et de protéger les apostats contre ces malades de l’Islam, de dire leur point de vue bien clairement, même s’ils risquent d’être accusés par les islamistes de mécréants.

Ils doivent avoir le courage d’accepter la différence et arrêter d’avoir peur et de défendre l’Islam, même par ingérence, sans cela, ils se rendent complices de criminels, ils sont des criminels passifs et les islamistes, des criminels actifs.

Je pense que l’idée est claire pour tout le monde.

Avec tout le monde, tu peux discuter et trouver un terrain d’entente et de respect, sauf avec les musulmans islamistes ou passifs, il est impossible de discuter avec eux.

Enfin et malheureusement, il y a beaucoup d’occidentaux et d’européens qui n’ont rien compris au problème et ils restent accrochés au texte des Droits de l’Homme et veulent appliquer ce texte à des personnes qui ne reconnaissent même pas ce que veut dire être un humain, pour eux, un simple esclave de Dieu.

Ces personnes ne donnent aucune importance à la vie humaine, ni à la liberté humaine, ni aux droits à la différence, ni aux droits des femmes ou de l’enfance et ne croient même pas à cette vie qui n’est qu’un simple passage à une vie éternelle après la mort.

Ces soi-disant humanistes et amis du respect et de la liberté ne sont que des hypocrites ignorants et individualistes qui ne pensent qu’à leur personne, leurs conflits personnels, leurs règlements de compte et la liste est longue.

Ils ne pensent ni à leur famille, ni à leur mari parce qu’ils les laissent dans l’ingérence de l’Islam et se comportent avec eux en hypocrites, soi-disant pour ne pas les blesser.

Eh bien moi, je leur dis “blesse-moi et sois direct et honnête avec moi au lieu de me cacher la vérité et me mentir, alors qu’au fond de toi tu regardes mes idées comme étant des idées criminelles”.

Si on veut en finir avec l’Islam, il faut parler aux musulmans et leur expliquer leur Islam et qu’ils choisissent leur camp : La civilisation, le progrès et l’humanisme ou l’ignorance, le crime, la censure et le terrorisme = islam.

Oui, après la guerre entre la civilisation et l’ingérence va venir la guerre entre l’évolution et l’arrièrisme, ensuite viendra la guerre entre l’Islam et le reste du monde.

Donc, choisissez bien votre camp, ou bien vous êtes musulmans, contre les valeurs humaines et pour les valeurs d’Allah ou bien contre les valeurs d’Allah mais pour l’humanité.

Oui, une guerre sans merci guette le monde entre les valeurs d’Allah et les valeurs de tous les autres dieux et les valeurs de l’être humain.

Je termine, au lieu de fuir, d’accuser et de diffamer et de comprendre mes propos comme on veut les comprendre, m’accuser d’appeler à la haine et au racisme, il vaut mieux discuter, car avec ce comportement, vous ne faites que diviser les civilisationnistes et renforcer les anti-civilisationnistes et les anti-libertaires, car, malheureusement, ils n’ont pas compris que le vrai danger est dans les lois d’Allah et ce qu’ils croient en elles, contre l’ensemble de l’humanité.

   Par : Massin Kevin Labidi

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Dix mesures pour limiter l’islamisation de l’Europe

Dix mesures pour limiter l’islamisation de l’Europe

Il y a presque 20 ans, internet venait d’être utilisé comme moyen d’expression, la liberté d’expression et de parole changea complètement, la censure devint de plus en plus difficile et même impossible, surtout avec l’apparition des proxys, de l’anonymat et mille autres façons pour exprimer son avis sans être condamné, ni poursuivi.

Ce qui m’intéresse ici, c’est la critique de l’Islam et des musulmans. J’ai connu mon premier ordinateur en 1997 et j’ai commencé à découvrir le monde virtuel infini. En ce temps-là, il n’y avait que quelques forums et quelques blogs qui commençaient discrètement à critiquer l’Islam modérément et indirectement. Mais les choses se sont accélérées avec des réactions violentes contre toute personne critiquant l’Islam.

Dix mesures pour limiter l'islamisation de l'Europe

Dix mesures pour limiter l’islamisation de l’Europe

En ce temps-là, le débat fût, pendant des années, très violent entre les pour et les contres sur la question : a t-on le droit de critiquer l’Islam ? Oui, en ce temps-là, ceux qui étaient pour critiquer l’Islam étaient une minorité accusée de tous les maux, de racisme, d’intolérance et la liste est longue.

Cela bien sûr par les islamistes en premier lieu et derrière eux, ceux que l’on appelle les musulmans modérés demandant une critique non directe de  l’Islam, ni de ses symboles et enfin, ceux qu’on appelle, la gauche européenne qui sous couvert d’humanisme, considère que cette critique touche la sensibilité d’une communauté religieuse.

Ce combat entre les deux clans du pour et du contre pris fin après les attentats du 11 septembre 2001, où tout le monde, et je dis bien tout le monde, était d’accord pour dire que l’Islam est un crime contre l’humanité s’il est appliqué selon le Coran, les Hadiths et la Sounna.

Donc, après le 11 septembre 2001, tout le monde était d’accord sur la criminalité de l’Islam, comme il est dit dans ses sources et cela a lancé sur le net, une grande vague de critiques de l’Islam, sans précédent, ainsi que dans les médias.

Cela a finit par l’apparition de ce que l’on appelle “l’islamophobie”, pour désigner toutes les personnes qui ont peur de l’Islam et de ses idées criminelles, de malade et ainsi, pourquoi pas, les criminaliser et essayer de mettre l’islamophobie sur le même pied d’égalité que l’antisémitisme, juste un moyen de bas niveau par les islamistes et leurs alliés pour interdire toute critique de l’Islam, et depuis, toute personne qui critique l’Islam est taxée et accusée directement d’islamophobe pour le faire taire, bien qu’accuser une personne d’islamophobie, selon le Coran, revient à en appeler à sa mort, puisque le Coran dit clairement que celui qui combat  Allah  et son prophète, et ici, le combat peut être sous forme de critique ou autre, sa punition est la mort.
Voici ce que dit le verset très clairement :

Sourate 5 – Al-Mâ-‘idah : La Table Servie – 33.

La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.

Donc, il faut faire attention à cette accusation et il faut criminaliser ceux qui accusent les autres d’islamophobie, parce que cela veut dire qu’ils appellent à leur mort et appellent à la mort, indirectement.

En ce temps-là, je disais : “je suis islamophobe et fier de l’être, car il s’agit d’un acte honorable et humain”.
J’ai même écrit un article où j’explique pourquoi il faut être islamophobe, parce que l’Islam est un vrai crime, il faut avoir peur de lui et il faut faire attention à cette idéologie meurtrière et inhumaine.

En ce temps-là, de 2004 à 2006, j’ai été accusé de racisme, d’intolérance et la liste est longue.

Des centaines de personnes étaient contre mes idées, ce qui a finit par la fermeture de l’AIME et l’ouverture d’Islamla. Des alliés des islamistes, consciemment ou inconsciemment, avec ingérence ou mauvaise foi, m’ont suivi sur Islamla et ont tout fait pour le saboter, mais bien sûr, ils n’ont pas réussi.

Malgré tout, j’ai continué à critiquer l’Islam et j’ai appelé à donner la parole aux ex-musulmans et à critiquer l’Islam. J’ai écrit des dizaines d’articles appelant à criminaliser les idées odieuses dans l’Islam, comme, l’apostasie, le droit des enfants, des femmes et des droits de l’homme, que l’Islam ne reconnait même pas et j’ai prévenu du danger qui guette l’Europe et nos pays et même en Tunisie, j’ai appelé à donner plus de liberté aux ex-musulmans, sinon, l’islamisme reprendra le dessus, suite à l’ingérence des populations et les méthodes de bas niveau des islamistes pour propager leur venin dans la société.

Personne ne m’a entendu et j’ai été mis dans une sorte de résidence surveillée pendant presque 5 ans, jusqu’à la fuite de Ben Ali et voilà que tout ce que j’avais prédit est arrivé, nos pays ont été islamisés et j’ai été obligé de quitter la Tunisie pour les Pays-Bas où je continu le combat. Après m’être installé aux Pays-Bas, j’ai révisé toutes ces années, presque 20 ans que je combat l’Islam et l’islamisme. J’ai découvert que cet islamisme criminel et cet Islam criminel ne vient pas du vide.

Je me suis posé mille questions :

– Pourquoi toute cette violence ?
– Pourquoi toute cette ingérence du danger de l’Islam ?
– Pourquoi tout ce mal et d’où veut-il ?

Je me suis posé beaucoup d’autres questions et j’ai découvert ces deux points-là  sur l’islamisation de l’Europe :

Premièrement,

Aux musulmans modérés de prouver à l’humanité qu’ils ne se rendent pas complices des crimes contre l’humanité commis sous leurs yeux. Ainsi, il faut qu’ils nous prouvent qu’ils font le maximum pour empêcher et limiter ces crimes. Les musulmans modérés ont une obligation de moyens et de résultats, c’est à eux de nous prouver qu’ils mettent en œuvre ces moyens.

Or, nous constatons que les textes de l’Islam ne sont pas expurgés de ses crimes. Les musulmans moyens dénoncent les critiques sur l’Islam mais ne dénoncent jamais les crimes de l’Islam. Les musulmans ne font jamais d’auto-critique ! Ils sont accusateurs et se rendent ainsi complices des terroristes.

Deuxièmement,

la gauche européenne  défend les musulmans affiche des objectifs humanitaires, c’est faux ! Cette gauche fait preuve d’un racisme profond qui vise à maintenir ces peuples dans la dépendance, l’ignorance et le sous-développement. La gauche regarde avec mépris les musulmans, traités comme des assistés sociaux mais aussi, des assistés politiques.

La gauche nie aux musulmans, le droit, élémentaire, humain, d’exercer leur auto-critique. Ils sont des mineurs, intellectuellement, voire, des handicapés mentaux. Ainsi, la gauche montre un racisme sournois et profond vis-à-vis des musulmans. Lorsqu’elle défend l’Islam, la gauche maintient les musulmans dans la barbarie.

Troisièmement

bien d’autres, sous couvert d’humanisme, ou pour des raisons personnelles,  se rendent complices des crimes fait par les islamistes, parce qu’à la place d’unir leurs efforts pour combattre le vrai danger qu’est l’Islam qui est, lui, contre l’humanisme, oui, contre l’humanité, ils cherchent à diviser les rangs, créer le désordre et perturber le débat et créer une discorde.

Ces trois catégories que je viens de pointer sont  de ce fait  incapables de participer à un vrai travail contre les crimes de l’Islam, pour la liberté et le respect de l’Homme.

Ceux, parmi les ex-musulmans  qui appellent à ne pas designer les musulmans, considérant, leurs pères, leurs mères et leurs conjoints comme des ignorants, incapables de comprendre par eux-même, des personnes sans logique et sans cerveau.

Ils disent cela lorsqu’on leur demande pourquoi ne pas ouvrir les yeux de leurs proches du danger de l’Islam.

Donc, ici, qui est humain et civilisé et qui respecte l’autre quand nous appelons à mettre tous les musulmans devant les faits réels et leur faire comprendre ce qu’est l’Islam afin qu’ils prennent une décision bien claire ?

Nous faisons cela par amour, par confiance et par reconnaissance à leur intelligence, afin qu’ils connaissent la vérité de l’Islam et qu’ils le quittent, pas comme ces  gauchistes, ces opportunistes, et  pseudos humanistes qui refusent de désigner les musulmans parce que pour eux, les musulmans restent des mineurs intellectuellement.

Donc, aujourd’hui, nous sommes devant une réalité, critiquer l’Islam seul ne mène à rien, car beaucoup de musulmans ne se sentent pas concernés par notre critique, parce que, pour eux, l’Islam n’est pas l’Islam que l’on critique, mais un autre Islam, mais la vérité est que eux n’appliquent pas leur Islam, ils appliquent autre chose, sauf l’Islam.

Mais malgré cela, ils se disent musulmans, et le plus grave, ils font partie de cette Oumma islamiste, ils protègent cette Oumma, ils sont source de propagande et de participation à la montée de l’islamisme et ils sont une grande réserve en matière de personnes, d’argent et de moyens, pour continuer et grandir, donc, cette réserve doit finir et ceux-là doivent choisir, ou bien ils restent musulmans et ils font partie de la Oumma, ou bien ne font plus partie de cette Oumma et ils gardent leur croyance personnelle, loin des sources de l’Islam.

 Ils doivent comprendre que le Coran et les Hadiths sont des livres de l’histoire finie de leur temps. Ils peuvent croire à un Islam personnel, à un dieu propre à eux, mais pas question de croire à un Islam de Mahomet, du Coran et de la Sunna. Cet Islam est un danger planétaire et il faut bien que tout le monde comprenne cela.

Maintenant, nous allons citer quels points montrent comment ces musulmans passifs, ces soi-disant gauchistes et ces pseudos humanistes participent d’une façon indirecte, alimentent l’islamisme et participent au crime contre l’humanité. Je vais citer les points les plus importants et à vous de voir :

1 Le voile :

Porter le voile est une participation indirecte à soutenir l’islamisme, comme une sorte de publicité gratuite pour revendiquer que l’on soumet la femme, qu’on ne la respecte pas, qu’elle est un sous-humain et sous l’autorité de l’homme. Je suis pour la liberté totale concernant l’habillement, mais pas pour les vêtements qui ont une connotation sexiste et qui sont contre la femme, ce qu’est le voile islamique. Je parle du voile, pas d’autre chose.

Toute femme qui porte le voile revendique être musulmane et croit à ce que préconise l’Islam, c’est-à-dire, que la femme est le mal et source de mal. Cela veut dire qu’elle ne se reconnait pas en tant que femme, comme l’égale de l’homme. Donc, le port du voile doit être interdit partout, dans tous les pays civilisés, sinon, ils participent à la soumission de la femme et toute femme portant le voile participe aux crimes faits contre elles.

2 La circoncision et l’excision

On  sait aujourd’hui que la circoncision masculine a le même effet que l’excision,. Elles  constituent un non-respect du droit de l’enfant et une violation de son corps. Ceux qui souhaitent se circoncire, doivent le faire après leur majorité en connaissance de cause. Toute mutilation envers un enfant doit être interdite dans les pays civilisés et toute personne donnant ce droit, participe à cette ingérence et à ce crime contre l’enfance.

3 La viande Halal

Oui, toute personne qui est en faveur de la viande Halal, achète ou autorise la viande Halal, participe au non-respect des animaux d’un côté et l’argent de la viande Halal gagné, participe d’une manière directe ou indirecte à alimenter l’islamisme partout dans le monde, car, si vous regardez bien, tous les réseaux de viande Halal, surtout en Europe cachent des islamistes purs et durs qui utilisent cet argent pour financer cet islamisme et peut-être plus, donc, il faut être contre la viande Halal.

4 La double nationalité

On ne peut pas être intégré si l’on est partagé entre deux cultures et entre deux pays. Avoir la nationalité d’un pays, c’est adhérer complètement à sa culture, ses valeurs et ses principes.

Par conséquent, chaque personne doit choisir une seule et unique nationalité, cela ne l’empêchera pas de vivre toute une vie en Europe ou dans une pays Européen et d”avoir une carte de séjour, sans pour autant être européen si elle souhaite garder sa nationalité d’origine.

Toute personne qui est pour la double nationalité, est une personne qui ne respecte pas les valeurs de son pays puisqu’elle permet à d’autres personnes de venir imposer leur culture. Comment accepter qu’une personne porte la nationalité française si elle-même ne reconnait rien aux valeurs françaises ?

5 Le droit à l’apostasie

On sait que des milliers d’enfants et d’adultes cachent leur apostasie par peur de leurs parents qui sont pourtant des musulmans “modérés”. Je me pose la question : si ces parents ou ces familles sont modérées, comme on le dit, pourquoi refusent-ils l’apostasie de leurs fils, filles, frères et autre ?

S’ils n’acceptent pas leur apostasie, cela veut dire qu’ils ne sont pas ignorants de l’Islam qui punit les apostats et qu’ils ne sont pas modérés puisqu’ils n’acceptent pas l’apostasie, donc, dans les deux cas, ces personnes soutiennent l’islamisme d’une façon directe.

Il faut que les lois criminalisent toute personne qui refuse l’apostasie ou insulte les apostats, tout comme les lois anti-racisme.

Il faut séparer les apostats de leur famille intolérante, et même parfois criminelle, envers leurs enfants, leurs frères ou leurs sœurs.

6 Le droit de critiquer l’Islam

Nous revendiquons le droit de critiquer l’Islam, la même chose pour le Coran, les Hadiths et la vie de Mahomet, et cela, dans les médias et à la TV et ceux qui n’acceptent pas cela ou s’y opposent, concèdent être contre la liberté de critiquer l’Islam, comme la critique de n’importe quelle autre religion ou idéologie.

 Il faut arrêter d’avoir peur de critiquer les idées, il faut surveiller ces livres qui appellent à la haine, à la guerre et à la mort et dire que ces livres contiennent des idées rétrogrades, contre l’humanité et classer le Coran comme un livre qui peut nuire à l’esprit.

7 La surveillance des mosquées

Les mosquées sont des lieux de propagande, de recrutement de futurs islamistes et même de criminels, donc, ces lieux doivent être sous surveillance de l’État et des autorités et particulièrement leur rentrée d’argent qui est utilisée, dans plusieurs cas, pour l’islamisation, mais également, les discours, que ce soit le vendredi ou au cours de la semaine et les personnes qui fréquentent ces lieux de culte.

Ces lieux doivent être limités et déclarés à la municipalité et toutes les mosquées illégales doivent être fermées. Il doit y avoir un grand contrôle de ces lieux qui construisent des bombes.

8 Les agences de Haj

Oui, ces agences de Haj et de Oumar vers les lieux saints musulmans sont de grands organismes pour blanchir l’argent et pour propager l’Islam. Toute personne qui passe par ces agences participe d’une façon indirecte à propager l’islamisme et à le financer, par conséquent, ces agences doivent être surveillées, contrôlées et limitées par l’État.

9 L’aumône

Que ce soit le 1/10 annuel, le 20/100 chiite ou l’aumône de la fin du Ramadan, tout cet argent , comme l’argent collecté pour construire une mosquées et toutes ces arnaques pour avoir de l’argent, sont utilisés pour propager l’islamisme et doivent donc être interdits ou contrôlés et toute personne, même de bonne foi, qui donne de l’argent, même si le don d’argent est obligatoire dans l’Islam, participe au grand crime contre l’humanité et propage l’Islam.

10Conclusion

Enfin, le fait de se revendiquer musulman et appartenir à la Oumma signifie nier toutes les valeurs humaines et croire aux valeurs d’Allah et de l’Islam, par conséquent, c’est être un ennemi de la civilisation, de l’évolution et de la science, c’est être pour les lois criminelles apportées par l’Islam.

Par conséquent, pour ne pas participer à ce crime, dites vous tunisien, marocain, algérien, français, mais pas musulman, parce qu’en vous revendiquant musulman, vous faites partie de la Oumma, cela veux dire que vous la soutenez.

Dites vous musulman non orthodoxe ou musulman à votre façon, concédez que toutes les lois islamiques ne sont plus nécessaires, que le Coran n’est qu’un simple livre d’histoire et créez vous votre croyance propre, loin des lois et des croyances criminelles présentes dans l’Islam.

Voilà, je crois que ces points sont clairs, je me contente de ceux-là et pour une intégration complète et véritable, pour que les choses soient claires pour tout le monde, celui qui souhaite l’évolution et le progrès est le bienvenu et que celui qui souhaite conserver son Islam aille dans un pays où l’Islam est appliqué, mais qu’il ne vienne pas imposer son Islam aux autres.

Pour finir, toute personne défendant ces 10 crimes est une personne qui participe à l’islamisation, ce qui veut dire, la destruction de toutes les valeurs humaines.

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 Par : Labidi Karim Mohamed

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La Paix contre la Violence

La Quête Perpétuelle de la Paix : Un Combat Contre la Violence

La paix, ce précieux joyau tant convoité par l’humanité, demeure insaisissable malgré les siècles d’aspiration collective. Depuis les premiers pas de l’homme sur cette terre, son cœur a toujours battu au rythme de ce rêve éthéré, portant l’espoir d’un monde où la douceur de vivre remplace les bruits des conflits.

La Paix contre la Violence

La Quête Perpétuelle de la Paix : Un Combat Contre la Violence

Pourtant, ce désir universel pour une harmonie globale est souvent éclipsé par l’impitoyable ombre de la violence qui, tel un spectre, hante nos aspirations les plus pures. Imaginez, dans un monde tissé de rêves de paix, ces moments où la joie simple d’un coucher de soleil partagé entre voisins est brusquement interrompue par le fracas assourdissant de la discorde.

C’est un paradoxe troublant: alors que la majorité aspire ardemment à un idéal de paix, une minorité bruyante et déterminée tisse, avec fervence, le fil de la discorde et de la terreur, justifiant leurs actes au nom de divinités, d’idéologies ou de croyances.

Cette image d’une communauté mondiale unie par un désir commun de paix se trouve ainsi fracturée, brouillée par le chaos orchestré par quelques-uns.

Devant ce tableau, on pourrait se laisser sombrer dans le désespoir, pensant que cette aspiration collective à la paix est une chimère. Mais détrompez-vous. La majorité silencieuse, celle qui dans son foyer, dans ses prières, dans ses actes quotidiens, nourrit la flamme de l’espoir pour un avenir pacifique, est une réalité vibrante. Ces anonymes, qui, loin des feux de la rampe, œuvrent pour un demain harmonieux, tissant inlassablement des liens de solidarité et de compassion au cœur même de leurs communautés.

Le véritable enjeu ne réside pas dans une prétendue incapacité à cohabiter pacifiquement, mais plutôt dans le passage à l’action. Il ne suffit pas de désirer la paix ; il est impératif de s’engager activement dans sa construction, de s’ériger contre la tyrannie des armes et des mots qui sèment la division. Il s’agit d’une responsabilité collective, où chaque individu, chaque communauté, doit prendre part au ballet de la résilience, refusant de plier l’échine sous le joug de la terreur.

Le chemin vers la paix est semé d’embûches, certes, mais loin d’être impénétrable. Il réclame un engagement indéfectible, une détermination à toute épreuve. Imaginez la force d’une myriade de gestes de paix, aussi minimes soient-ils, convergents vers le même but. Une voix s’élevant contre la violence ici, un acte de solidarité là, chaque initiative contribuant à fragiliser les fondations de l’oppression et à ériger, pierre après pierre, l’édifice de la paix.

Le jour viendra, porté par l’élan unanime de l’humanité, où la violence cessera de déchirer le tissu de nos vies. Ce jour-là, et ce jour-là seulement, nous pourrons savourer pleinement les fruits de la paix tant espérée. En attendant, rappelons-nous que le silence est le meilleur allié de l’inaction. Levons-nous, unis par une même cause, et claironnons, avec une force renouvelée et une détermination sans faille: “Halte à la violence, vive la Paix!”

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La traversée des siècles

La traversée des siècles

Voici comment les chiites présentent leurs origines et leur histoire. Un texte à lire avec la plus grande prudence, mais très instructif sur leur mentalité.

Ma vie, ma Tunisie

La traversée des siècles

Lors de la disparition du douzième imam infaillible El Mehdi, le fameux imam caché (878), les premiers partisans du réseau chiites prétendirent que ce dernier, malgré son retrait provisoire de la vie publique, continuait à adresser aux hommes ses messages prophétiques.

Celui-ci désignerait bientôt son successeur, unique savant religieux capable de construire l’avenir du monde musulman. Pourchassés depuis de nombreuses décennies, les membres de ce réseau étaient alors très affaiblis.

Aussi décidèrent-ils de se retirer de la scène politique, tout comme leur idole, afin d’échapper à la torture de leurs détracteurs et de préparer dans l’ombre le renouveau de la religion chiite en restructurant son organisation à la lumière des textes sacrés issus de la parole d’El Mehdi. La disparition de ce dernier marqua donc le début de leur clandestinité.

À cette époque, la première tâche entreprise par les grands savants chiites fut de conserver et de protéger les écrits sur lesquels se fonde toute la stratégie du réseau, d’hier jusqu’à nos jours, et pour les siècles à venir. Ces textes comportaient deux volets, l’un destiné à la masse des croyants, l’autre à l’élite et devant être tenu secret.

Des écoles religieuses furent ouvertes, réservées exclusivement à leurs descendants. Chaque nouvel élève postulant se voyait soumis à des tests draconiens avant de pouvoir y être admis, une étude sur son passé et sa famille était également diligentée. La formation religieuse comportait sept étapes.

La première se déroulait sur plusieurs années, pendant lesquelles l’élève apprenait les bases de l’islam et le Fiqh (la jurisprudence qui rassemble l’exégèse des savants chiites), sous l’autorité d’un « assidu» (moujtéhid celui qui interprète les textes).La deuxième le hissait au rang de savant religieux, mais il devait rester sous la tutelle de son maître, lequel avait pour mission de lui enseigner les subtilités de la jurisprudence. Durant la troisième étape, il acquérait le degré de Houjatou El Islam.

À partir de ce moment-là, il lui était possible de se détacher partiellement de son maître. L’élève rédigeait alors sa propre jurisprudence. À la suite de quoi, il atteignait le niveau de « prudence » (ihtiate).Lors de la quatrième étape, il défendait sa thèse Rissala El Amalia (pratiques jurisprudentielles) devant les plus grands savants chiites, lesquels lui accordaient son titre d’ « assidu », l’autorisant à exprimer son opinion personnelle et à devenir totalement indépendant à l’égard de son maître.

La cinquième l’élevait au rang d’Ayatoullah, lui donnant le droit de diriger sa propre école religieuse, puis d’envoyer ses disciples à travers le monde pour propager sa jurisprudence. Ses élèves lui devaient l’aumône (el zakat).La sixième correspondait au rang de Ayatoullah El Ouadhama (signe du Dieu grandiose), le plus haut degré de connaissance. Peu de religieux pouvaient y prétendre.Enfin la septième, appelée Ouléyatou El Féqih, couronnait le savant religieux suprême.

Ce degré reste toutefois sinon contesté, pour le moins théorique. En pratique, aucun religieux n’a encore osé le revendiquer, hormis l’imam Khomeiny lors de sa révolution contre le shah d’Iran ! Selon certains, seul l’imam El Mehdi détient ce pouvoir.Les membres du réseau se replièrent dans leurs écoles élitistes, consolidant ainsi leur organisation. C’est ainsi que la pensée chiite put traverser les âges.

Djamel Eddin El Afghani, né en 1839, de son vrai nom Djamel Eddin Assad Abadi, fut l’un des premiers à participer à l’infiltration du corps sunnite. Son apparition sur la scène politico-religieuse, vers 1860, déclencha l’entrée du réseau dans le domaine politique pour le conduire ensuite au terrorisme. Cet Afghan, converti à la doctrine chiite, reçut une formation religieuse en Iran avant d’entrer dans les rangs du réseau.

Après ses études, il se rendit en Afghanistan où il s’introduisit chez les sunnites afin de percer leur logique et leur mode de fonctionnement. Ensuite il gagna l’Égypte pour entrer dans la célèbre école religieuse El Azhar.

Sa première action pour le réseau consista à propager de façon indirecte au sein de cet établissement les idées politiques du chiisme. Cela avait valeur de test préparatoire à la mise au point d’une science de l’infiltration devant servir de modèle aux futurs agents du réseau.

Grand précurseur de la guerre secrète, dès 1867, El Afghani projeta d’installer en Égypte un mouvement islamiste puis de le pousser à prendre le pouvoir. De là il unifierait le monde arabe après l’avoir préalablement divisé, chassant par là même les colons occidentaux de la terre d’Islam.

El Afghani initia Mohamed Abdou (1849-1905), père fondateur du réformisme musulman El Nahdha (la renaissance), qui fut l’un des premiers sunnites politiques à enseigner à l’illustre école religieuse El Azhar. C’est là que les deux hommes firent connaissance. Derrière les actions d’El Afghani se cachait un puissant espion exerçant dans tout le monde arabo-islamique au service du réseau.

Il entretenait d’excellentes relations avec les colons européens, spécialement avec les Britanniques à qui il livra toutes sortes d’informations sur les partis d’opposition, communistes, nationalistes ou chiites n’appartenant pas au réseau.Dans les années vingt, après la chute de l’Empire ottoman et le partage du monde arabo-islamique entre Britanniques et Français, les dirigeants chiites prirent toute la mesure de la puissance occidentale.

Ils décidèrent de réagir énergiquement en formant un appareil ultra secret ayant pour mission, d’une part de mener des actions terroristes contre les intérêts occidentaux, et d’autre part de créer des mouvements islamistes au sein de la communauté sunnite.

Cette prise de conscience entraîna un durcissement de leur mouvement et la remise en cause de son action politique. Face au gigantesque corps sunnite et à la domination du monde occidental, la stratégie de l’attaque frontale se révélait en effet inopérante.

L’infiltration, la manipulation, la déstabilisation – bref tout ce qui relève de la guerre secrète, devinrent leurs armes privilégiées. Dans le même temps, les dirigeants s’isolèrent davantage dans leur tour d’ivoire occulte, instaurant un système de communication à la fois horizontale et verticale ultra verrouillé.

Ils développèrent également la méthode El Tekia, technique de l’agent double. Lors de l’indépendance de l’Égypte en 1936, le mouvement des Frères musulmans, créé en 1929 auparavant par Hassan al-Banna, a précipité le départ des Britanniques. En réalité, cette confrérie religieuse avait pu voir le jour grâce à l’influence d’El Afghani. Mais le manque d’expérience de ses dirigeants en matière politique leur interdit l’accès au pouvoir. Cet échec les obligea à se réorganiser.

Ils mirent au point un système économique et social spécifique, différent du capitalisme et du socialisme. Parallèlement, ils prêchaient un retour intégral à la tradition islamique pure et dure. Pendant ce temps, l’œil noir du réseau les surveillait de près.

Peu à peu les Frères musulmans sombrèrent dans le fanatisme et l’intégrisme sunnite, mettant en péril les plans chiites. Ces derniers parvinrent toutefois à reprendre le contrôle du mouvement par l’intermédiaire d’El Said Kotb, sympathisant du réseau et grand leader des Frères musulmans. Les chiites consentirent même une aide financière importante.

Plus les idées politico-religieuses des Frères musulmans se propageaient dans le monde islamique, plus la présence du réseau se fortifiait sur ces mêmes terres. Lorsque les autorités égyptiennes condamnèrent à mort El Said Kotb, le réseau continua néanmoins de préserver son hégémonie sur les Frères musulmans jusqu’à ce que ceux-ci soient réprimés par Nasser dans les années cinquante. Cette défaite relative poussa les à intensifier l’infiltration du corps sunnite en Égypte.

Reprenant de nouvelles positions stratégiques, ils manœuvrèrent pour y développer des mouvements islamistes conservant leur religion locale mais placés sous le contrôle direct ou indirect de ses agents. De cette façon ils renforcèrent leurs positions dans les principales villes égyptiennes, à partir desquelles ils purent ensuite implanter des branches annexes dans les pays voisins. Après la première offensive chiites menée par El Afghani au Moyen-Orient, la suivante fut lancée vers l’Occident.

L’analyse des dirigeants du réseau, que ni Karim ni moi ne partageons, je tiens encore à le préciser, est la suivante le monde occidental est l’objet d’une opération de minage par les « juifs sionistes qui président de nombreuses institutions financières, civiles, mais également militaires ».

Profitant de la naïveté des chrétiens et de leur méconnaissance du danger que représente la puissance islamique, les sionistes organisent de leur côté une guerre secrète destinée à anéantir les musulmans.

Les chiites envoyèrent partout en Europe des espions chargés de dresser des rapports détaillés sur les activités sionistes. Travail minutieux et de longue haleine, mais les investigations interminables ne sont pas pour effrayer le réseau, qui raisonne à très long terme, édifiant des plans d’action sur des centaines d’années à la lumière des prédictions d’El Mehdi… Selon les chiites, le temps joue en leur faveur.

Texte écrie en arabe 1987 et sortie en 2020 dans le livre Ma vie Ma Tunisie.

Par : Mohamed karim Labidi

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