L’homosexualité dans l’islam

L’homosexualité dans l’islam

Il est connu que la sexualité dans l’islam est réduite aux seules relations entre hommes et femmes. Seul ce type de relation est légitime et naturel au yeux de l’islam qui plus est les autorise seulement dans des cadres bien précis qui diffèrent d’une secte à une autre. Ainsi on retrouve plusieurs formes de mariage, et le droit de propriété sur les esclaves et les femmes capturés lors des guerres contre les ennemis de l’islam.

L'homosexualité dans l'islam

L’homosexualité dans l’islam

Toute relation qui sort de ces contextes est strictement interdite et sévèrement punie, allant parfois jusqu’à la condamnation à mort car elle est considérée comme un acte contre la nature créée par Allah. Ce qui fait d’elle une offense directe à la volonté d’Allah.

Bien que l’homosexualité soit interdite dans l’islam, l’histoire du monde musulman a connu beaucoup d’homosexuels célèbres parmi les poètes ou autres qui affichaient clairement leur homosexualité sans qu’on demande à ce qu’ils soient jugés, ou alors très exceptionnellement.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la loi islamique préconise la non mixité. Ce qui crée des regroupements séparés d’hommes et de femmes. Et ce dans tous les domaines de la vie sociale. Naturellement, cela encourage de façon indirecte la pratique homosexuelle. Ce qui est contradictoire avec l’interdiction de cette pratique dans l’islam qui la considère comme contre nature. Dans ce cas est ce naturel de séparer les hommes et les femmes ??

Ce n’est pas la seule contradiction que comprend la charia. Loin de là, elle en regorge. D’un côté, elle interdit une pratique et de l’autre côté, elle l’encourage indirectement en lui donnant le support social favorable à son développement. En effet, si l’islam voit en l’homosexualité une pratique non naturelle, il aurait plutôt du encourager la mixité pour supprimer cette pratique. Mais il a fait complètement le contraire. Et ce n’est pas nouveau : ceux qui connaissent bien l’islam sont conscients du manque de cohérence de ses lois.

Comme si chacune avait été élaborée à part. Ce qui prouve bien qu’elles ont été mises en place hâtivement sans mûre réflexion par un être humain et non pas par un Dieu ou quel qu’autre force. Soit ces lois islamiques existaient bien avant l’islam, et Mohamed les a reprises en leur donnant un caractère sacré et divin ; soit elles découlent de la mentalité et de la nature mêmes de Mohamed, de ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas et a voulu imposer à tous les arabes sans prendre en considération la nature humaine dans sa diversité.

Tout cela est bien clair puisqu’en plus l’islam fait la distinction entre l’homosexualité masculine et féminine. En effet, cette dernière est moins répréhensible que la première qui est au contraire fortement sanctionnée. Par ailleurs, la punition de l’individu passif est plus lourde que celle de l’actif, car l’islam considère qu’il est contre nature d’être efféminé.

Alors qu’aujourd’hui, on sait très bien qu’il existe des personnes qui naissent efféminées ou qui le deviennent par simple choix personnel, en optant pour ce qui convient le mieux à leur nature. Chacun est libre de choisir sa vie sexuelle. De quel droit l’islam se permet-il d’obliger les gens à aller à l’encontre de leur propre nature pour en faire des hypocrites, uniquement pour satisfaire de prétendues lois islamiques copiées par Mohamed et imposées comme lois divines.

On peut se demander si cette pratique existait à l’époque de Mohamed. La réponse est oui sans doute. L’homosexualité est présente dans tous les peuples. De plus certains hadiths l’évoquent. Le coran également en parle au sujet du peuple de Loth pour lequel la pratique homosexuelle était répandue. Cette histoire est plagiée sur l’ancien testament.

Voici le verset en question : Chapitre 7 versets 80 et 81 « Souvenez vous de Loth ! il dit à son peuple : « vous livrez- vous à cette abomination que nul, parmi les mondes, n’a commise avant vous ? Vous vous approchez des hommes de préférence aux femmes pour assouvir vos passions vous étés un peuple pervers. » La condamnation de l’homosexualité est claire dans le coran ainsi que la punition qui l’accompagne.

Mais la mise en pratique de cette punition est presque inexistante dans le monde musulman car les conditions pour l’appliquer sont difficiles à réunir (témoins,…). Cependant on ne peut pas afficher son homosexualité ni la pratiquer librement. Tout se fait en cachette. C’est la règle d’or en islam quant aux comportements contraires à la loi islamique.

Car il faut être un grand hypocrite pour être un bon musulman et pour être respecté par les autres. Pour finir, je vais citer quelques versets du coran qui me paraissent bizarres.

En effet, il y est question de ceux qui seront au service des fidèles au paradis : de très beaux jeunes hommes nous dit-on !! Chapitre 102 versets 24 « Des jeunes gens placés à leur service circulèrent parmi eux semblable à des perles cachées. » Chapitre 106 versets 17 « Des éphèbes immortels circulent autour d’eux portant des cratères, des aiguières et des coups remplie d’un breuvage limpide »

Chapitre 126 versets 19 « Des éphèbes immortels circulent autour d’eux, tu les compareras, quand tu les verras, à des perles détachées » On se demande si l’homosexualité qui est interdite sur terre, devient autorisée au paradis, comme le vin qui y coule dans des rivières. Ou bien Mohamed dit-il cela pour rassurer les musulmans qui aiment cette pratique ? En tout cas, il est bien clair que pour échapper à la répression de la loi islamique dans cette vie, il faut se comporter en grand hypocrite.

Par : Mohamed Karim Labidi

À lire aussi : Destin, si je veux ! >>>

L’islam maladie transmissible !

L’islam maladie transmissible !

Le terrorisme islamique moral ou physique vous entoure et il peut frapper n’importe où et n’importe quand. C’est une réalité que l’on ne peut nier ou cacher et voilà notre diagnostic : Nom de la maladie : ISLAM

Historique :

L'islam maladie transmissible !

L’islam maladie transmissible !

On essaiera de diagnostiquer cette maladie, en espérant trouver les remèdes adéquats pour protéger l’humanité de ses dangers et pourquoi ne pas lancer des campagnes de vaccination contre ce fléau.

C’est une maladie très ancienne dans l’histoire humaine. L´islam est apparu à la Mecque (en Arabie Saoudite) depuis1400 ans. C’est à cet endroit qu’on a détecté les premiers cas dangereux plus particulièrement chez une certaine personne se prénommant Mohamed qui a contaminé sa femme ensuite ses proches.

Puis, cette maladie s’est propagée jusqu’ à atteindre Médine avant de devenir la maladie d’État par excellence. Bref, le tiers de l’humanité a été contaminé durant un court laps de temps. Et voilà qu’elle commence à se proliférer. Au bout d’un moment, avec la chute de l’empire ottoman on a cru qu’elle avait disparu. Mais en réalité, elle avait entamé sa période d’hibernation pour apparaître à nouveau encore plus forte et plus dévastatrice, avec un objectif beaucoup plus ambitieux à savoir infecter toute la planète.

Syndrome de la maladie (le terrorisme islamique) :

Un virus d’idées infecte le cerveau de l’être humain lui donnant une folle envie de mourir en martyr et de tuer le maximum de gens non encore infectés parce virus. La personne atteinte qu’on appelle terroriste islamiste croit fermement qu’elle continuera sa vie après la mort dans un endroit meilleur que la terre appelé Paradis. Il perd tous repères avec la vie réelle et commence à vivre dans les rêves. Un monde totalement imaginaire avec des personnages imaginaires tels que Dieu, Anges, Satan, houria, djinn…

Virus responsable :

L’islam. La maladie s’attrape une fois qu’on a atteint l’état d’ivresse en matière d’islam. La personne ne se réfère plus qu’au Coran, qui serait la parole de Dieu et qu’aux hadiths, qui seraient les paroles et les actes de son soi-disant prophète Mohamed. Ce virus a un peu les caractéristiques du virus de SIDA. En effet, les patients sont tous séropositifs. Ce virus peut ne pas tuer mais une fois déclenché il devient mortel.

Transmission :

Cette maladie est transmissible génétiquement à partir du père ou mère. Jusque la, 1300millions d’individus sur terre sont atteints de cette maladie. Ils sont appelés communément (musulmans) . Elle devient plus dangereuse par la voie orale. Sa prolifération se fait au sein de la famille, dans les médias, à l’école ou même dans la rue et plus précisément dans les mosquées, les lieux de culte et les quartiers pauvres et se nourrit particulièrement des versets coraniques et des hadiths.

Dépistage et diagnostic :

Il est rare de pouvoir déceler ce virus chez une personne qui a atteint le stade final de cette maladie. La plupart des patients ne sont même pas conscients de leurs états critiques. Sauf des forces spéciales ou des membres très proches de lui pourront la déceler à partir de son comportement. Il manifeste une haine farouche envers les personnes saines, même si elles sont sa femme, ses frères, ses sœurs ou ses enfants. Dès que vous remarquez un tel comportement, n’hésitez pas à contacter le poste de police le plus proche pour l’hospitaliser de toute urgence avant qu’il ne commette un attentat.

Stades : la malade connaît

4 stades qui sont :

Le premier stade : soit on est dedans dès la naissance.Ceci est le cas de toute personne née de parents ou d’un père musulman(s), soit par la fréquentation des musulmans. La personne peut rester dans ce premier stade en ayant un état stable toute au long de sa vie, mais elle reste susceptible de passer au deuxième stade. Les meilleurs remèdes pour en guérir c’est d’abandonner les idées de l’islam et ce le plus vite possible ou de discuter avec des gens ouverts d’esprit. à ce stade, éviter au maximum tout rassemblement de partis ou de groupes islamiques.

Stade asymptomatique : c’est le deuxième stade. Il s’annonce par la pratique. Le malade fera donc les cinq prières par jour, le ramadan et lira le Coran, prendra pour modèle Mohamed et appliquera à sa vie ses hadiths et fréquentera les mosquées. Au cours de ce stade, le virus continuera à se multiplier et à progresser. L’immunité est peu altérée, voire normale, mais il faut d’urgence voir un psychiatre.

Pré terrorisme : c’est le troisième stade. Il se manifeste par une haine envers les non musulmans notamment contre l’Occident et les juifs. La personne ne fréquente plus les mosquées mais plutôt des endroits secrets où elle rencontre d’autres malades. Elle devient de plus en plus retirée et se détache petit à petit de sa famille. La vie ne vaut plus rien pour elle. Elle a atteint le désespoir. Si elle est encore consciente qu’elle se livre à la police sinon il faudrait la dénoncer au plus vite.

Terrorisme déclaré : c’est le quatrième et dernier stade. Le passage à l’action. En général, il serait trop tard pour espérer une guérison mais gardons toujours espoir..

Par : Mohamed Karim Labidi

À lire aussi : Sœur d’Aaron dans le coran ! >>>

La liberté dans l’islam orthodoxe ?

La liberté dans l’islam orthodoxe ?

Est-ce qu’il y a de la liberté dans l’islam orthodoxe?
La liberté dans l'islam orthodoxe

La liberté dans l’islam orthodoxe

Définition du mots liberté : état dans lequel un sujet peut agir sans contrainte ni obstacle, et qui lui permet de déterminer en toute autonomie les fins de son action ainsi que les moyens d’y parvenir. Et j’ajoute sans toucher à la liberté des autres sujets, ma liberté s’arrête à la frontière des libertés des autres.

Définition du mots islam orthodoxe : c’est une idiologie dite divin qui appelle à la soumissions non conditionnée d’un sujet aux lois et règlements apportés par Mohamed dans tout les domaines de la vie il y a 1400 ans.

    Questions :L’islam est-il ouvert à l’esprit critique?

NON, NON L’islam à mon avis croit en une seule liberté, celle de choisir entre être libre de l’islam et finir en enfer ou de ne pas être libre de l’islam et être soumis à ses règles et lois et bénéficier du paradis.

Par : Mohamed Karim Labidi

À lire aussi : Internet fenêtre sur le monde >>>

Mystère, si te tiens !

Mystère, si te tiens !

On appelle, Mystère, tout ce qui nous échappe. Par conséquent l’ampleur du mystérieux doit être égale à celle de notre ignorance. Ce qui parait mystérieux pour les uns ne l’est pas, forcément, pour les autres. C’est pourquoi, on va se limiter à ce qui semble relevé des mystères universels tel que la mort, les phénomènes surnaturels et ainsi de suite qui touchent, a part égale, l’ensemble de l’humanité.

Le mystérieux est fait pour être affronté et démystifié. C’est la seule façon de faire avancer les choses, c’est le caractère mystérieux qui nous pousse à le défier afin de pouvoir progresser à la découverte de nouveaux mystères. Ce qui était mystérieux dans le passé ne l’est plus aujourd’hui, et celui de nos jours, disparaîtra dans l’avenir pour laisser la place à la place à la naissance de nouveaux mystères. C’est ainsi que l’humain se développe au fil du temps.

  • – Le mystère de la vie et la mort.
  • – Le mystère d’avant la vie et d’après la mort.
  • – S’il existe et ne sait pas faire pour rendre ce monde meilleur, alors il ne mérite pas d’être un dieu.
  • – Le mystère de Dieu.

Le mystère de la vie et la mort :
Le discours religieux renvoie la balle dans le camp de Dieu, il est le seul maître nous dit-on dans ces domaines. Tout d’abord, comment peut-on définir la vie ? Il y a plusieurs stades de la vie à l’échelle minérale et humaine. En ce qui me concerne, la vie est l’existence, , alors que la mort est la non existence. Donc, il faut chercher le mystère de l’existence et celui de la non existence ce qui nous ramène à deuxième point.

Le mystère d’avant la vie et d’après la mort :
On connaît l’approche religieuse qui ne nous intéresse pas ici. De mon point de vue, tout ce qui apparaît a connu un cheminement clandestin sur une infinité d’étapes avant de surgir sous sa forme définitive.

Je vais me limiter à trois types de mystères :
Si je suis apparu tel que je suis c’est en raison de la mise en place d’un long processus depuis toujours pour aboutir à ce résultat et non pas à un autre le moindre changement aurait donné un autre résultat, peut être, diamétralement opposé. Ce qui s’applique sur le plan individuel se répète à l’échelle humaine avec l’apparition du premier être humain.

Mystère, si te tiens !

Mystère, si te tiens !

Personnellement, je pense qu’avant la vie j’ai été une dispersion de points qui se sont rassembler pour faire de moi ce que je suis dans cette existence et après la mort, je serai dispersé de nouveau dans la non existence.

La seule différence réside dans le fait qu’avant, je vais exister, et qu’après, j’ai déjà existé par conséquent, je suis dans cette vie sans y avoir été avant et sans y être après, mais si on réunit de nouveau le même ensemble de nouveau le même ensemble de point, dans le même ordre, on obtiendrait exactement la même personne.

Le mystère de dieu, ou l’origine de l’existence :
C’est ce qu’on appelle le mystère des mystères. La question principale est de savoir s’il existe une origine à l’existence ? C’est le principe de causalité qui va nous plonger dans un cercle vicieux sans fin pour se contenter du principe de « la cause des causes » qui se trouve à l’origine première.

Il ne faut pas brûler les étapes et pour ne pas se perdre dans l’infini, on doit se limiter à la recherche de notre propre origine.

Avant de songer à la source première concentrons-nous d’abord sur notre source directe, abordons la question progressivement pour mieux la cerner. L’origine de l’existence ne peut être qu’une étape primitive de l’existence qui provient, à son tour, d’une autre étape encore plus primitive et ainsi de suite.

C’est une chaîne illimitée qui s’est développé, je ne dis pas seule mais d’elle-même et en fonction de ses besoins pour aboutir à ce que nous connaissons de nos jours. Tout mystère doit être découvert et expliqué pour qu’on puisse se développer à commencer par celui de dieu.

Il ne faut plus poursuivre cette soumission esclavagiste envers un Dieu mis en place, de toutes pièces, par l’imaginaire humain en fonction de son besoin de l’époque. Il est temps de se libérer de ces chaînes qui nous empêchent d’aller vers l’avant. Notre avenir est entre nos mains et non pas entre les mains d’un Dieu, sauf si on considère que nous sommes. Nous même, cette perfection divine vers laquelle on tend.

Par : Karim Mohamed Labidi

À lire aussi : Les Alaouites ou Alawites-Alevis >>>

Mirage divin

Mirage divin

J’ai été subjugué par l’idée qu’on faisait du Dieu parfait qui est au dessus de tout. J’ai cherché, tout d’abord, à me rapprocher de lui afin de lui ressembler le plus possible, ensuite, j’ai essayé de le connaître à travers le discours religieux qui n’était pas satisfaisant, ensuite, je me suis dirigé vers la présentation ésotérique et mystique de la nature divine, supérieure à celle de l’exotérique religieux.

Mirage divin

Mirage divin

Cependant, je me suis aperçu que ce que les soufis et les mystiques, de tout bord, croyaient être la nature divine n’était autre que la nature humaine à son plus haut niveau. En effet, ce qui devait être Dieu n’est autre que l’homme parfait, qui n’est pas encore apparu, à travers lequel on se libéré des chaînes de la matière, afin de retrouver la nature humaine infinie initiale.

Je ne vous raconte pas l’ampleur de ma déception à la suite de cette découverte que je refusais d’admettre en essayant d’aller encore plus dans la recherche de la nature divine sans succès. Ainsi, j’ai réalisé soudainement que l’idée de Dieu est une idée purement humaine, le résultat d’une mauvaise interprétation du mirage qui émane de la nature humaine, et qui n’est autre que l’ombre de cette dernière.

Autrement dit, au long de l’histoire humaine, on prenait ce qui émane’ de non matériel, de la matière comme étant la nature divine et ceci en raison de notre ignorance. En fait, ce qu’on prenait pour Dieu n’était autre qu’une conséquence de l’existence matérielle humaine à l’image de l’ombre qui apparaît à la suite d’une construction matérielle.

Imaginez plusieurs caravanes qui se perdent dans un désert, chacune d’elles était à la recherche de quelque chose différente de l’autre. Ainsi, l’une d’elles espérait trouver de l’eau au point d’imaginer le mirage étant une flaque d’eau, vers laquelle elle avance, jusqu’à ce qu’elle échappe à la mort on plein désert en trouvant une sortie. C’est- à- dire, en imaginant le mirage comme étant de l’eau, elle a pu garder espoir de survie jusqu’à ce qu’elle trouve une solution à son errance.

Une autre caravane, qui était à la recherche d’ombre afin de se protéger de la chaleur du soleil, voyait dans le mirage une oasis vers laquelle elle se dirigeait. Ainsi, c’est l’espoir d’atteindre cette oasis qui avait permis à cette oasis qui avait permis à cette oasis qui avait permis à cette caravane de supporter les brûlures du soleil du désert, jusqu’à ce que la nuit tombe et la sauve d’une mort certaine.

Une autre caravane, qui avait besoin d’une aide, était à la quête d’une caravane qui lui porte secours, ainsi, elle voyait dans le mirage une caravane, vers laquelle elle tend, jusqu’à ce qu’elle trouve une solution à son problème, ou même encore, qu’elle rencontre réellement une caravane qui lui apporte de l’aide.

Cet exemple nous explique clairement les différentes visions de la nature divine par l’être humain, puisque cette vision émane d’un mirage qu’on interprète différemment en fonction du besoin humain de l’époque, et ceci jusqu’à ce que l’humanité ait pu atteindre l’époque actuelle et échapper à l’extinction de son espèce grâce à l’espoir. En d’autre termes, c’est la vision de Dieu dans ce mirage qui a sauvé l’humanité d’une éventuelle disparition, et qui lui a permis d’atteindre un niveau qui l’autorise de comprendre la vérité de ce mirage.

Ainsi, la vérité de Dieu n’est autre qu’une idée humaine formulant un espoir qui conduit au port d’attache. Supposons que les différents caravanes continuaient à croire que le mirage est de l’eau, une oasis ou une caravane même après être sauvées de la mort, cette attitude ne serait- elle pas illusoire, irréelle et dangereuse ? Ainsi, ce qui était bénéfique dans le passé devient maléfique au présent et surtout dans l’avenir.

De même pour l’idée de Dieu qui était un espoir sauveur dans le passé humanitaire, et qui devient une entrave si l’être humain continu à croire que cette idée est une réalité. Autant cette idée était bénéfique et positive dans le passé humain, autant elle est devenue négative et un handicap pour le progrès de l’être humain.

En fait, l’idée en soi est neutre tout dépend quand, comment et pourquoi on l’utilise puisqu’il s’agit d’une pure invention humaine qui n’est dotée d’aucune existence réelle. En effet, l’existence divine ne réside que dans l’imaginaire humain en raison de l’espoir qu’elle représentait, ce qui justifiait les messages des grands prophètes qui voulaient le bien être de l’humanité et qui cherchaient la vérité de leurs époques pour faire progresser l’homme.

Par conséquent, je déduis que Dieu n’est que le mirage qui émane de l’univers de l’existence infini dans le sens ou il a toujours existé depuis le non début. Ainsi, c’est lui qui a engendré l’être humain, objectif de l’existence ou son noyau.

Au départ, je plaçais Dieu au sommet suivi de l’univers de l’existence qui est suivi de homme, mais après la découverte de cette vérité, je place l’univers de l’existence au sommet suivi de l’homme qui sera suivi, à son tour, du sur- homme qu’on croyait, dans le passé, être la nature divine.

Ainsi, ce qui était sensé être Dieu n’est pas encore apparu, mais peut très bien apparaître dans l’avenir en fonction de la volonté humaine. Donc l’origine de Dieu est l’être humain qui rêve d’atteindre cette idée divine un de ces jours.

Sachez que chaque idée qui traverse l’esprit humain s’enregistre automatiquement à l’intérieur de l’univers de l’existence jusqu’à ce vienne le jour ou un être humain la prononce. Chaque idée qu’on exprime s’enregistre d’office à l’extérieur de l’univers de l’existence jusqu’à ce vienne le jour ou un être humain l’écrive.

Chaque idée écrite retraverse de nouveau l’esprit humain afin d’extraire d’elle de nouvelles idées, c’est ainsi que l’être humain a pu progresser tout au long de son histoire.

Un début duquel j’aurais voulu commencer, une fin vers laquelle j’aurais aimé arriver, un sujet que j’aurais aimé aborder, celui de l’humanité en terme général, celui de l’être humain en terme précis puisqu’il est le noyau de l’univers de l’existence et sa raison d’être. C’est une vérité qui a été ressente par les anciens, comprise par l’actuel humain et qui sera confirmée par le futur humain, génération après génération.

J’écris pour que tu saches, tu sais pour que tu penses, tu penses pour que tu écrives. Le temps de l’oralité, des histoires des légendes, des contes est révolu, le temps des révélations, des prophètes, des histoires divines est achevé. Il est venu le temps des histoires humaines, de l’écrit, de la pensée, de l’analyse, du concret, de la vérité palpable.

Doit- on vous rappeler que d’un son est apparue la parole, d’un point est apparue l’écriture, c’est ainsi qu’on se dirige vers le sommet de l’humanité, vers le sur- homme, vers l’infini absolu à l’intérieur duquel on avance depuis l’infini.

Mille et une questions traversent l’esprit humain, mais y a t- il une réponse à chacune de ses questions ? ce n’est pas sûr, en revanche, il est certain que chaque réponse dispose d’une question. Ce qu’on peut dire c’est qua chaque question il existe mille réponses, plus ou moins juste, en fonction de ce qu’on cherche à travers la question est le propre de l’être humain qui ne cesse de s’interroger sur le tout et le rien sans jamais arriver au bout de ses peines.

D’ailleurs, c’est à la suite du sentiment d’incapacité de répondre à certaines questions, tel que d’où je viens, qui suis- je, ou bien, ou vais- je ?que l’homme a inventé l’idée de Dieu afin d’échapper à ses responsabilités et mettre le tout sur le dos de la nature divine. En effet, l’idée de Dieu règle bon nombre de problèmes que l être humain a du mal à résoudre dans le passé. Mais si Dieu était la solution de l’homme d’autant, peut- il continuer à jouer ce rôle encore aujourd’hui ?

Si Dieu est la réponse à l’ensemble des questions d’ordre existentiel, quia tourmenté l’esprit humain dans le passé, il ne peut plus satisfaire l’homme moderne qui a de nouveau besoin en fonction du degré d’évolution de son esprit.

Vous devez vous demander pourquoi on doit se détacher de l’idée de Dieu ? Pourquoi je cherche à combattre une idée qui procure encor, de nos jours, un bien être à prés de 90% de l’humanité directement ou non ? Personnellement, je n’ai rien contre l’idée de Dieu en soi, il m’importe peu aujourd’hui qu’il existe réellement ou non, je pense avoir dépassé ce stade.

En fait, j’ai tellement constaté l’impact négatif de cette idée sur l’humanité que je me sens forcer de penser que même si jamais Dieu existe réellement, il devrait se retirer et je dois appeler à la non existence divine. En effet, il s’agit d’un passage que l’humanité doit emprunter afin de se débarrasser de l’effet négatif que cette idée a engendré.

Le premier effet négatif que cette idée a crée est la manque d’ambition humaine pour vaincre le temps, la baisse su sens de la responsabilité en faisant constamment référence au Dieu providence qui va tout résoudre. Même si Dieu existe, il devrait envoyer des messagers pour appeler é sa non existence, afin que l’humanité puisse affronter sa destinée en cherchant, par exemple, à vaincre la mort, au lieu de continuer à croire qu’il existe une vie après, pour se rassurer et pour éviter de s’avouer la triste vérité de la fin de tout avec la mort. Il faut arrêter de se voiler la face et de croire en ce qui nous arrange sans résoudre le problème à sa racine.

Si l’écriture est un objectif, la lecture est un moyen dont le but est la pensée, c’est pourquoi, une lecture sans réflexion est un simple moyen et une perte de temps. Ainsi, l’écrivain pense ensuite il écrit, alors que le lecteur lit ensuite il pense. Les idées naissent, vivent et meurent comme tout autre existant.

L’idée de Dieu après avoir bien vécu se trouve vielle de nos jours et vouée à la disparition en laissant derrière elle la nouvelle idée qui va la remplacer, et dont la naissance a eu lieu depuis des siècles afin d’arriver à maturité lui permettant de se substituer à l’ancienne idée.

En effet, l’idée étant humaine, on doit lui appliquer le mécanisme qui régit la nature humaine, c’est- à- dire, que les idées se marient, se reproduisent se séparent, se contredisent, naissent, grandissent, meurent s’héritent, s’enterrent et se visitent. Si l’existence a engendré l’être humain, c’est ce dernier qui a engendré l’idée, ou le verbe, dont il est le seul créateur.

Par conséquent, s’il existe un dieu, celui- ci ne peut être que l’être humain lui- même qui est le secret et le noyau de l’existence, il est le premier et le dernier, le miséricordieux, et ainsi de suite des 99 noms divins.

N’avez- vous pas remarqué que ce qu’on appelle Dieu n’envoie plus de prophètes, peut-être qu’il s’aperçoit qu’on croit un peu trop en lui et qu’il devait prendre un peu de distance pour qu’on puisse voler par nos propres ailes, ceci dans l’hypothèse ou il existe réellement, enfin, on ne sait jamais.

Par : Mohamed Karim Labidi

À lire aussi : L’athéisme mode de pensée >>>

 

Pin It on Pinterest