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Question : Pourquoi l’état d’Israël ?

Question : Pourquoi l’état d’Israël ?

Cher Karim, je tiens à te féliciter pour le courage dont tu fais preuve ! Non pas celui de ne pas craindre Allah (la dessus je te rejoins IoI ), mais celui d’avoir à subir l’intolérance récurant des musulmans du monde entier !

Je me pose cependant une question à laquelle, j’espère, tu pourras répondre:
Pourquoi l’état d’Israël (je me considère comme nationaliste arabe et je pense que la création de cet état est une aberration) qui est lui aussi marqué par le poids d’une religion intolérante et handicapante sur le plan économique, a réussit à construire un état moderne et libre d’expression ! quelle analyse fais tu de ce constat ?
A bientôt

Question Pourquoi l'état d'Israël

Question Pourquoi l’état d’Israël

Azul
Tout d’abord, merci pour ton soutien et ton encouragement. Je te rejoins sur l’idée que l’Etat d’Israël n’aurait pas du exister de cette façon et sur le compte du peuple Palestinien. C’est une injustice colonialiste amère où les arabes, eux même, se trouvent à la fois responsables et complices, mais je ne veux pas rentrer dans les détails.

Cependant, l’Etat d’Israël existe bel et bien, aujourd’hui, et on ne peut plus faire marche arrière sans commettre à notre tour la même injustice vis-à-vis du peuple juif. Par ailleurs, ce peuple à tous les droits d’avoir un pays qui l’abrite comme n’importe quel autre de part le monde. Il serait injuste qu’un peuple aussi ancien et avec autant d’histoire, comme le peuple juif, soit privé du droit le plus élémentaire qui est le droit au Sol ancestral d’après sa tradition.

Cette injustice, qui frappe le peuple juif, peut être réparée en définissant des frontières bien précises afin d’établir une paix juste et durable entre les deux habitants de cette partie du globe. Le peuple palestinien a autant de droit que le peuple juif et si tous deux ne cessent de revendiquer des preuves d’ordre religieux et historique, il n’empêche que la solution ne peut être que d’ordre humain, loin de tout dogme religieux. Le problème sera réglé le jour où naîtra deux États laïques côte à côte et respectueux des droits de l’Homme.

Le chemin est encore loin devant nous, certes, avant de voir ce rêve se concrétiser et avant qu’un israélien puisse se déplacer librement en Palestine et inversement.

Quand à ta question… je te réponds en fonction de mon savoir et sans pour autant prétendre détenir la vérité. Selon l’histoire du peuple juif, c’est ce dernier qui se trouve à l’origine du monothéisme avec ce qu’il comporte comme prophètes et comme textes dits révélés.

Par conséquent, ce sont les premiers à avoir pris conscience de la possibilité de commercer avec un Dieu qu’ils avaient eux-mêmes crées. Autrement dit, selon un juif seule la bonne pratique de sa religion peut le rendre meilleur et lui permettre de bien vivre sur Terre. Ils ont cette capacité de modifier leur religion en fonction des circonstances afin d’atteindre le meilleur de la vie terrestre. Le judaïsme a été changé mille et une fois dans l’histoire pour qu’il s’adapte à chaque espace temps sans la moindre difficulté.

C’est la preuve de l’extrême intelligence de ce peuple qui a réussi le mieux à se servir du sentiment religieux pour atteindre son objectif. En réalité, ils n’espèrent rien de concret après la mort et si jamais il y a quelque chose ça ne pourrait s’agir que d’un plus.

Les juifs ont compris le mécanisme de la vie et ont très bien su miser, systématiquement, sur le cheval gagnant sans pour autant perdre leur religion qui manifeste plus leur identité que leur religion. Selon eux, il n’existe aucune différence fondamentale entre un athée et un croyant puisqu’ils appartiennent tous au peuple Élu. L’identité juive englobe dans son sein l’ensemble des courants religieux et doctrinaux judaïques.

Malheureusement, cette solidarité ancestrale ne transparaît pas chez les arabos-musulmans où on ne peut faire partie d’un groupe si on ne partage pas les mêmes idées. Le droit à la différence est inexistant chez nous. C’est grâce au respect de ce droit fondamental que le peuple juif a su se tirer des situations les plus difficiles. Ils ont réussi à profiter d’une situation internationale et du pressentiment religieux et identitaire afin de créer l’Etat d’Israël avec la bénédiction des causeurs du génocide.

Mais une fois que l’Etat d’Israël est en place, la religion passe au second plan, elle reviendra au devant de la scène en cas de nécessité. La place est actuellement à ce qui servira le mieux l’Etat d’Israël comme la laïcité, l’économie de développement et j’en passe. La religion pour eux n’est qu’un moyen et en aucun cas un but en soi. Voila pourquoi le judaïsme est une religion modelable et nationale…nous non
Merci de ta participation.

Par : Mohamed Karim Labidi

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L’idée d’Une seule origine…

L’idée d’Une seule origine…

Adam, le père commun de toute l’humanité, Eve l’unique mère de tout être humain, Dieu notre seul créateur, la seule origine de l’Univers. Le Un comme base de tous les nombres, le Point source de toutes écritures ou schémas. La racine absolue d’où on provient et vers laquelle on se dirige.

C’est sur cette idée que toutes les religions, les sectes et les politiques totalitaires se sont appuyés pour se faire entendre. Une seule et unique origine pour tout le monde, un seul gouvernement, un seul parti au pouvoir, une seule force, un seul responsable, une seule politique, une seule idéologie.

L'idée d'Une seule origine...

L’idée d’Une seule origine…

L’opposition est interdite, l’autre doit disparaître. Il n’y a qu’une seule force reconnue, une idée cache une autre, un mensonge sans preuve auquel on doit croire et prendre comme une vérité absolue. Même ceux qui se disent rationnels et scientifiques cherchent la vérité à travers le UN et oublient les autres UNS.

L’influence religieuse de cette approche est sans équivoque. La réunion de l’ensemble dans le UN était nécessaire pour pouvoir aborder l’univers infini qui nous entoure et l’approcher sans crainte et sans le risque de se perdre.

L’humanité a toujours su changer de direction à chaque fois qu’elle se confronte à une impasse. C’était, et c’est toujours le cas, le seul moyen de progresser dans les labyrinthes de la vie. Elle a inventé les religions, par nécessité, afin de pouvoir franchir un obstacle qui l’empêche d’aller vers l’avant.

Parce que l’Homme évolue, et le monde avec, chaque invention humaine devient, elle-même, un obstacle dans l’avenir. En revanche, les méthodes et les idées reçues demeurent les mêmes sous prétextes de l’origine commune. L’idée du Un absolu nous bloque sur tous les niveaux : idéologique, politique, économique…

Et continuer à ne plus avancer de la sorte ne fait que nous retarder de notre conquête de l’univers environnant. Notre orgueil nous empêche d’inaugurer une nouvelle étape, dont rêve l’humanité, celle du « Non Un absolu » mais du « Un infini » sans limite. Celle du Un multiple qui s’harmonise avec l’ensemble des autres Uns. Celle du Un souple, le Un d’être différant, le Un d’être plusieurs, le Un sans Un.

Il faut être capable de se libérer de cet Un pour reprendre le chemin de l’évolution. Cette idée doit être, non seulement, abandonnée mais aussi combattue par tous les moyens afin de se délivrer de son emprise. Pour pouvoir accéder à une nouvelle étape de notre évolution, on peut attendre passivement que cela se produise naturellement. Seulement, le problème c’est que cette solution nous fera perdre beaucoup de temps et le pire c’est qu’elle risque de nous coûter plusieurs vies humaines suite au développement galopant des armes de destruction massive.

L’ensemble de l’espèce humaine est menacé si une seule force gagne et décide d’exterminer le reste afin de confirmer et de réaliser l’idée du UN absolu. Notre temps n’est plus celui des anciens et les menaces sont différentes. Aujourd’hui, le monde est de plus en plus petit, la moindre action provoque des répercussions immédiates sur l’ensemble de la planète. Chacun de nous doit prendre son destin en main au lieu de continuer à se laisser guider par une poigné d’illuminé qui cherche à gouverner le monde au détriment des autres protagonistes.

La recherche du pouvoir du Un sur le monde est dévastatrice pour l’ensemble de l’humanité. Oui, la guerre des Uns est belle et bien lancé et chaque Un se croit le meilleure et cherche à détruire les autres Uns. Seulement, les plus dangereux de tous les Uns, se trouvent le Un islamiste et le Un impérialiste qui se rivalise pour la domination de la planète quitte à mettre la Terre à feu et à sang pour aboutir sur une seule force totalitaire.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Sœur d’Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

On ne cesse de nous le radoter : le Coran fourmille de miracles. Alors que nous savons qu’en nous armant d’un minimum d’ouverture d’esprit et d’un sens critique, les miracles qu’il rapporte deviennent rapidement des faits préfabriqués et entraînent pour nous la disparition de l’enchantement éphémère que nous avions pu concevoir en lisant quelques sourates.

Sœur d'Aaron dans le coran !

Sœur d’Aaron dans le coran !

Pour duper les gens simples d’esprit et leur faire croire que le Coran est divin, tout est bon. Heureusement que de plus en plus de personnes commencent à douter de ces miracles et à réaliser combien les textes coraniques sont contradictoires. La science est d’ailleurs là pour le prouver. Cette fois, nous nous pencherons sur les erreurs dont est parsemé le Coran.

En traduisant le Coran en français ou en toute autre langue, on cherche à cacher les erreurs et les contradictions qu’il renferme mais, comme le dit le proverbe tunisien : « Celui qui vole l’emporte sur celui qui cache. » Il suffit de refuser de se soumettre à cette religion qui aveugle l’esprit pour être à même de repérer les erreurs que comportent ses textes dits « sacrés. ».

Sachant que le Coran en langue arabe comporte encore plus d’erreurs flagrantes que les autres versions, il est facile de comprendre que les mots peuvent y être facilement interprétés dans un sens ou dans un autre, ceci afin de les faire correspondre à une idée fixée au préalable. Malheureusement, pour s’apercevoir de la manipulation, il faut posséder une bonne connaissance et de la langue arabe et du Coran lui-même. Si le musulman de base n’y voit que du feu, les oulémas, en revanche, connaissent parfaitement tout cela.

D’ailleurs, ils étudient erreurs et contradictions pour le but de les dissimuler au peuple. Depuis son apparition, il y a 1400 ans, les oulémas cherchent même à corriger ces contre-sens et anachronismes par le biais de plusieurs méthodes toutes plus malhonnêtes les unes que les autres : le détournement des sens des mots, l’introduction de mots non arabes et aussi la création d’une grammaire s’adaptant au seul Coran… On le voit : la liste est longue. Notons-le aussi : c’est la langue arabe qui doit se rallier au Coran et non l’inverse.

Mais aujourd’hui n’est plus hier et ce genre de pratique ne peut plus passer inaperçu. Aussi devient-il très difficile de modifier la dernière version que l’on a datée de 1932. Et même si les différences semblent tout d’abord minimes, elles n’en existent pas moins et sont loin d’être insignifiantes.

Ainsi peut-on lire dans le chapitre XIX (Marie), verset 28 : « Ô. Soeur de Aaron ! ton père n’était pas un homme mauvais et ta mère n’était pas une prostituée ». Mais le Aaron ici cité n’est pas le frère de Marie, mère de Jésus, mais plutôt celui de Moïse. Voilà un verset qui vient le confirmer : « Paix sur Moïse et Aaron » (Chapitre 37, verset 120)

Le Coran confond visiblement Marie, mère de Jésus et Marie, sœur de Moïse. Tout le monde sait d’ailleurs que Marie n’a jamais eu aucun frère répondant au nom de Aaron. Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres, l’un de ceux qu’il est plus facile de distinguer en arabe qu’en français.

Bien sûr, les oulémas connaissent cette erreur qui relève de l’anachronisme pur et simple. Mais ils cherchent à la contourner en affirmant qu’il s’agit d’un autre Aaron et non de Aaron, frère de Moïse.

Seulement voilà : cette explication ne fournit pas pour autant à Marie, mère de Jésus, un frère appelé Aaron ! Le seul frère qu’aurait eu la mère du Christ s’appelait Yahya, et, en réalité, ce Yahya n’était pas son frère par le sang. Simplement, ils avaient grandi ensemble lorsque Marie avait été confiée à Zacharie, le père de Yahya, qui l’avait prise en charge.

Le verset 37 du chapitre 3 nous dit à ce sujet : « Son Seigneur l’agréa alors du bon agrément, la fit croître en belle croissance. Et Il en confia la garde à Zacharie. Chaque fois que celui-ci entrait auprès d’elle dans le Sanctuaire, il trouvait près d’elle de la nourriture. Il dit : « Ô Marie, d’où te vient cette nourriture ? » – Elle dit : « Cela me vient d’Allah ». Il donne certes la nourriture à qui Il veut sans compter. « Zacharie : c’est le père de Jean-Baptiste (Yahya). »

Comme on le voit, tous les moyens sont bons pour cacher ces graves erreurs et contre-sens à la masse des croyants. De telles falsifications relèvent du rôle des oulémas, et ce depuis des siècles. Ils sont d’ailleurs formés entre autres pour cette mission. Alors parole divine ou invention humaine ?

On peut lire l’interprétation suivante de ce verset :
Ibn Jabir a avancé : « Concernant l’appellation « sœur d’Aaron », il est connu qu’à cette époque les gens s’attribuaient aux Prophètes et aux hommes vertueux en prenant leurs noms. Cet Aaron désigné est un autre Aaron que le frère de Moïse (que le salut de Dieu soit sur lui), et il a ajouté qu’il était un homme pieux et juste et lors de sa mort, 40 000 hommes avaient suivi son convoi funèbre et ils portaient tous le nom Aaron parmi les fils d’Israël. »

D’autres disent que l’on appelait Marie, « sœur de Aaron » parce qu’elle descendait de Aaron …

Tout cela n’a rien de logique. De plus ces interprétations s’appellent « ahad », c’est-à-dire qu’elles ont été rapportées par une seule personne. En outre, aucune source historique ne parle de ce fait. Et puis Marie n’a jamais fréquenté d’hommes, du moins d’après l’Islam, alors comment peut-elle avoir un frère, voire un ami ? Et même en admettant que ce qu’ils avancent est vrai et que tout le monde s’appelait Aaron à cette lointaine époque et dans l’entourage de Marie, cela ne prouve en rien qu’elle a côtoyé l’un d’eux.

D’autres disent qu’en effet, Marie n’avait pas de frère. Mais chez les Arabes, tout le monde peut utiliser le terme « frère » – ou « sœur. ». C’est-à-dire « celui avec qui l’on a le même père et/ou la même mère ». Chez les Arabes (et les Africains), le « frère » peut être tout simplement un cousin proche ou éloigné. Or il y avait, paraît-il, à l’époque un juif d’une grande bonté et réputé pour sa piété, qui appartenait à la tribu de Marie et qui s’appelait Haroun (Aaron).

Donc, de quelque façon que l’on retourne la question, on finit par aboutir à l’équation suivante : « Frère = une personne très proche, un familier. » Or, nous savons tous que Marie passait son temps à méditer chez Zacharie et ne recevait personne, et surtout pas d’hommes. Dans ces conditions, d’où vient ce « frère » ?

Même s’il s’agissait d’un homme pieux comme le prétendent certaines traductions, l’Histoire l’aurait aussi évoqué ! Des preuves auraient prouvé son existence. On observera d’autre part que le reste du verset confirme l’hypothèse du frère par le sang de Marie, puisque l’on y évoque ses parents. En bonne logique en effet, si l’on dit : « Ô sœur de X, ton père était… et ta mère… » X est dans le contexte le frère par le sang – et personne d’autre.

Mais alors, pourquoi le Coran ne s’est-il pas contenté de dire : « Ô Marie.. » ?

On raconte que cette erreur fut commise à l’époque de Othmane (3e calife) et que, comme tant d’autres, elle ne fut pas corrigée par la suite.

Par conséquent, le Coran, au même titre que les autres livres sacrés devraient être considéré comme un ouvrage mythologique. D’autant que les lois datant du VIIe siècle qu’il nous rapporte sont aujourd’hui parfaitement obsolètes.

Quant à moi, je propose de le mettre tout bonnement au musée. C’est la seule place qu’il mérite, la seule où il pourra montrer sans danger au monde la haine et la cruauté humaines des versets qu’il égrène parfois avec poésie. Quant aux verset soft, ils ne sont que le reflet de la sagesse de certains penseurs de cette époque. Pour prendre conscience des unes comme de l’autre, nous n’avons besoin ni du Coran, ni d’un quelconque autre livre déclaré « sacré » par les ambitions humaines.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Les causes de la peur de l’islam?

Les causes de la peur de l’islam?

Là tu me poses une question longue à répondre, mais je vais être bref. Et bien n’oublis pas que j’ai vécu dans une famille traditionnelle qui a connu pendant les années 75 une révolution islamique

C'est quoi les causes de la peur de l'islam??

Les causes de la peur de l’islam?

qui m’a laissé vivre la vie d’un bon musulman et qui m’a conduit vers le chiisme et puis vers l’islamisme et enfin vers l’intégrisme et le terrorisme; le but suprême pour tous les bons musulmans et je ne souhaitais qu’une seule chose c’est de mourir en martyre pour dieu.

L’islam se base sur el djihad sinon il perdra toute force. Crois moi toute personne qui se dit musulmane et qui n’espère pas mourir en martyre et fait tout pour arriver à ce stade n’est qu’une hypocrite, lâche et monteuse et qui ne fait que retarder les musulmans. Je ne vais pas rentrer avec toi en une discussion théologique mais je te parle en connaissance de cause.

L’islam a perdu sa force quand il a commencé à abandonner el jihad et il restera dans la merde et même pire s’il ne répand pas el jihad. Mais en réalité, il ne peut jamais répandre el jihad parce que le monde a changé et l’homme a évolué et l’islam a raté sa chance et maintenant il se trouve bloquer par lui-même parce qu’il s’est basé sur el jihad et il n’a pas su que l’homme va évoluer et l’abandonner ou bien il a cru qu’il allait conquérir toute la terre avant que l’homme arrive à ce stade d’évolution.

Donc je vois qu’il n’y a aucune solution que d’abandonner l’islam parce qu’il ne peut plus nous donner la civilisation, un islam sans djihad n’est pas un islam. Un islam faible ne fait que nous reculer vers l’arrière et on assiste aujourd’hui à un blocage sur tous les niveaux à cause de l’islam qui ferme les portes de el ijtihad et veut finir avec el djihad une foi pour toute ce qui nous laisse devant deux solutions :

– Un islam modéré lâche qui change la forme extérieure et laisse les esprits fermés de l’intérieur ce qui mène à un dédoublement de personnalité, une hypocrisie et un grand décalage entre ce qu’il demande et ce qu’est la réalité de la vie vécue, ce qui peut à tout moment basculer vers l’obscurantisme islamique.

– Un islam tolérant qui nous plonge encore plus dans l’ignorance et qui ne garde de l’islam que ses saletés sous forme de lois archaïques et traditionnelles qui nous empêchent d’évoluer et d’avancer.

Et bien suite à des méditations et réflexions, je suis arrivé au stade qu’il faut tout détruire pour se reconstruire de nouveau, parce que l’islam est tellement en ruine qu’on ne peut plus le renouveler. Et bien c’est comme ça que je suis devenu islamophobe, c’est un choix et une conviction personnelle qui me permet de critiquer l’islam de A jusqu’à Z.

Par : Mohamed Karim Labidi

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Internet fenêtre sur le monde

Internet fenêtre sur le monde

Nous savons tous que, aujourd’hui, Internet constitue une fenêtre grande ouverte sur le monde entier. On y trouve presque tout. Mais ce monde est vaste et l’on peut s’y perdre. D’autant que, dans cette vie limitée qui est la nôtre dès la naissance, nous ne pouvons pas arriver à tout savoir car, à force de vouloir tout savoir, on finit en fait par ne plus rien savoir.

C’est ainsi que nous verrions notre vie s’écouler sous nos yeux sans que nous puissions apporter quoi que ce soit à l’Humanité. En effet, un apport, fût-il minime, sera toujours mieux que rien.

Internet fenêtre sur le monde

Internet fenêtre sur le monde

Pour pouvoir vraiment apporter sa contribution à l’Humanité de façon efficace, c’est-à-dire pour la faire évoluer, l’être humain, en tant qu’individu, doit se spécialiser et choisir, avec précision, ce qu’il veut connaître et ce qu’il veut faire dans cette vie. Par ailleurs, avec le temps, il se spécialisera de plus en plus jusqu’à ce qu’il devienne une source de richesses pour les autres. C’est à ce moment là qu’il aura accompli son devoir vis-à-vis de l’Humanité qui nous est si chère.

Malheureusement, à une certaine époque, une bonne partie de l’Humanité était ignorante et analphabète. Les gens n’avaient aucune existence individuelle, ils se fondaient dans la masse. De ce fait, ils étaient obligés d’appartenir à un clan, à une tribu ou à un groupe pour se distinguer des autres mais aussi pour jouir d’une protection. En dehors du groupe idéologique auquel il appartenait, l’individu n’avait aucune importance. La majorité dépourvue de savoir se contentait de suivre une minorité savante – ou prétendue telle- et qui contrôlait tout.

Heureusement, depuis ces temps reculés, la situation n’a cessé d’évoluer. Aujourd’hui la majorité sait lire et écrire et l’accès à Internet se démocratise de plus en plus même s’il reste tout de même beaucoup à faire en la matière.

Et malgré notre volonté de forger nous-mêmes nos propres idées, chose qui nécessite beaucoup de recherches et une infinie patience, beaucoup d’entre nous, faute de temps, de courage et de moyens financiers, émotionnels ou intellectuels, abandonnent leurs recherches personnelles et se réfugient dans des groupes idéologiques qui leur proposent des idées toutes faites, une sorte de « prêt à porter » de l’idée. Ils perdent ainsi toute capacité – qu’ils détenaient pourtant jusque là – de s’auto-réaliser.

Le dicton « Il y a un remède à tous les maux» reste valable, fort heureusement. Malgré les multiples obstacles, l’Humanité a su, toujours, trouver les solutions qui lui permettraient de les surmonter et de continuer sa marche en avant.

Même si de plus en plus de sites Web spécialisés se créent, les sites virtuels personnels en sont encore à leurs balbutiements, balbutiements cependant fort utiles puisqu’ils facilitent l’accès à l’information détaillée. De tels sites permettent à chacun de donner son point de vue sur divers sujet, de partager ses expériences, son vécu et ses connaissances avec les autres.

Et même si ce genre de sites est le plus souvent le travail d’une seule personne, sa finalité reste le partage. De même qu’il permet à son auteur de se corriger et d’évoluer grâce aux critiques, il permet aux autres l’accès à diverses expériences que, sans le site en question, ils n’auraient pu connaître.

Voilà donc le vrai but de ce site personnel. C’est ma maison, mon intérieur, où vous trouverez tout ce que je pense en toute liberté. C’est mon espace privé et je vous invite à le visiter. Je reste ouvert à toutes vos critiques même les plus sévères. Cela m’aidera à évoluer car je crois fermement en une chose : l’esprit fermé voit sous un seul angle mais l’esprit ouvert, lui, voit sous tous les angles.

Par :Mohamed Karim Labidi

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